Actualité Historique Desarme - Remorqueur - rari
Remorqueur Rari
Déplacement : 1000t
Longueur : 51m
Largeur : 12,6m
Tirant d'eau : 4m
Numéro de coque : A634
Date admission au service actif : 05/02/1985
Date retrait service actif : 2014
Longueur : 51m
Largeur : 12,6m
Tirant d'eau : 4m
Numéro de coque : A634
Date admission au service actif : 05/02/1985
Date retrait service actif : 2014
L'actualité
/ Historique est une page destinée à présenter
l'actualité d'une unité. Elle est également destinée
à présenter l'histoire d'une unité : son activité
passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Remorqueur Rari
Net-marine
30 / 08 / 2008
Sujet : des nouvelles.... de Net-Marine31 mars : Les opérations de désarmement du Rari ont commencé. Ce remorqueur est placé en complément depuis le 31 mars 2008.
30 / 08 / 2008
Sujet : des nouvelles.... de Net-Marine31 mars : Les opérations de désarmement du Rari ont commencé. Ce remorqueur est placé en complément depuis le 31 mars 2008.
Alabordache - marine nationale
12 / 10 / 2005
Sujet : Interception d'un GO FAST au large de la BarbadeLundi 10 octobre 2005 à 21h20 heure locale, une embarcation rapide transportant des stupéfiants a été interceptée par un dispositif aéromaritime entre la Barbade et Saint Vincent.
Pour l’occasion, les bâtiments des forces armées des Antilles, la frégate VENTOSE et le patrouilleur LA FOUGUEUSE, coopéraient avec un remorqueur de haute mer de la marine nationale, le RARI, venu de Brest dans le cadre d’un renfort programmé dans les Antilles pour une durée de deux mois, et un avion de surveillance de la Regional Security System (RSS) basé à la Barbade.
Ayant refusé de stopper, puis jeté des ballots par-dessus bord, l’embarcation est pistée en mer.
Sur ordre du préfet de la Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’Etat en mer aux Antilles, un tir de neutralisation depuis l’hélicoptère du VENTOSE contraint les trafiquants à s’immobiliser.
Huit ballots, contenant environ 160 kg d’herbe de cannabis, sont récupérés dans l’eau. L’équipage, originaire du sud de la Caraïbe, a été ramené à Fort-de-France ; il sera pris en charge par l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) pour être déféré aux autorités judiciaires.
12 / 10 / 2005
Sujet : Interception d'un GO FAST au large de la BarbadeLundi 10 octobre 2005 à 21h20 heure locale, une embarcation rapide transportant des stupéfiants a été interceptée par un dispositif aéromaritime entre la Barbade et Saint Vincent.
Pour l’occasion, les bâtiments des forces armées des Antilles, la frégate VENTOSE et le patrouilleur LA FOUGUEUSE, coopéraient avec un remorqueur de haute mer de la marine nationale, le RARI, venu de Brest dans le cadre d’un renfort programmé dans les Antilles pour une durée de deux mois, et un avion de surveillance de la Regional Security System (RSS) basé à la Barbade.
Ayant refusé de stopper, puis jeté des ballots par-dessus bord, l’embarcation est pistée en mer.
Sur ordre du préfet de la Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’Etat en mer aux Antilles, un tir de neutralisation depuis l’hélicoptère du VENTOSE contraint les trafiquants à s’immobiliser.
Huit ballots, contenant environ 160 kg d’herbe de cannabis, sont récupérés dans l’eau. L’équipage, originaire du sud de la Caraïbe, a été ramené à Fort-de-France ; il sera pris en charge par l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS) pour être déféré aux autorités judiciaires.
Alabordache
11 / 09 / 2005
Sujet : Le remorqueur Rari appareille de Brest pour rejoindre la Nouvelle Orléans
Dans le cadre de l'aide apportée par la France aux populations de Louisiane sinistrées par l'ouragan Katrina, le remorqueur de haute mer de la Marine nationale "Rari" a appeillé ce matin, dimanche 11 septembre 2005, de Brest pour rejoindre la Nouvelle Orléans. Il apportera un appui aux plongeurs grâce à ses capacités de levage et de traction.
En effet, un groupe de plongeurs démineurs a décollé également ce dimanche à bord d'un avion C-135. Cette unité, notamment spécialisée en travaux sous-marins, est composée de 17 hommes, 16 plongeurs-démineurs et un infirmier hyperbariste. Ce groupe, emportant avec lui sept tonnes de matériel dont des moyens nautiques et du matériel de génie sous-marin, "interviendra en totale autonomie".
Les plongeurs effectueront des "expertises, des travaux de consolidation de berges, la réhabilitation de voies maritimes et le dégagement des zones portuaires afin de libérer l'accès des quais".
Le Rari apportera donc un appui aux plongeurs grâce à ses capacités de levage et de traction.
Plus de 3600 nautiques séparent Brest de la Louisiane. Le Rari avançant à la vitesse moyenne de 12 noeuds, il lui faudra au moins 12 jours pour arriver à la Nouvelle Orléans.
Construit par par les chantiers Bréhéret à Couéron et lancé le 16 avril 1984, le remorqueur-ravitailleur type RR 4000 Rari est en service dans la Marine nationale depuis le 21 février 1985. Le Rari est basé à Brest depuis décembre 1998.
Caractéristiques :
Longueur : 51m
Largeur : 12.6m
Tirant d'eau : 4m
DĂ©placement : 1000t
Vitesse max : 14.5nd
Propulsion : 2 diesels SACM Wärtsilä UD33 V12 M6, 2 hélices à pales orientables
Puissance : 4000 CV
Distance franchissable : 5000 nautiques Ă 12 noeuds
Equipage : 2 officiers, 20 officiers mariniers, 10 quartiers-maîtres et matelots
11 / 09 / 2005
Sujet : Le remorqueur Rari appareille de Brest pour rejoindre la Nouvelle Orléans
Dans le cadre de l'aide apportée par la France aux populations de Louisiane sinistrées par l'ouragan Katrina, le remorqueur de haute mer de la Marine nationale "Rari" a appeillé ce matin, dimanche 11 septembre 2005, de Brest pour rejoindre la Nouvelle Orléans. Il apportera un appui aux plongeurs grâce à ses capacités de levage et de traction.
En effet, un groupe de plongeurs démineurs a décollé également ce dimanche à bord d'un avion C-135. Cette unité, notamment spécialisée en travaux sous-marins, est composée de 17 hommes, 16 plongeurs-démineurs et un infirmier hyperbariste. Ce groupe, emportant avec lui sept tonnes de matériel dont des moyens nautiques et du matériel de génie sous-marin, "interviendra en totale autonomie".
Les plongeurs effectueront des "expertises, des travaux de consolidation de berges, la réhabilitation de voies maritimes et le dégagement des zones portuaires afin de libérer l'accès des quais".
Le Rari apportera donc un appui aux plongeurs grâce à ses capacités de levage et de traction.
Plus de 3600 nautiques séparent Brest de la Louisiane. Le Rari avançant à la vitesse moyenne de 12 noeuds, il lui faudra au moins 12 jours pour arriver à la Nouvelle Orléans.
Construit par par les chantiers Bréhéret à Couéron et lancé le 16 avril 1984, le remorqueur-ravitailleur type RR 4000 Rari est en service dans la Marine nationale depuis le 21 février 1985. Le Rari est basé à Brest depuis décembre 1998.
Caractéristiques :
Longueur : 51m
Largeur : 12.6m
Tirant d'eau : 4m
DĂ©placement : 1000t
Vitesse max : 14.5nd
Propulsion : 2 diesels SACM Wärtsilä UD33 V12 M6, 2 hélices à pales orientables
Puissance : 4000 CV
Distance franchissable : 5000 nautiques Ă 12 noeuds
Equipage : 2 officiers, 20 officiers mariniers, 10 quartiers-maîtres et matelots
Alabordache
22 / 02 / 2005
Sujet : Le remorqueur ravitailleur répare ses moteurs et modernise ses équipements
Après sept mois de mission en océan Indien en 2004, le Rari confronté à des problèmes de motorisation et approvisionnement de pièces de rechange est immobilisé à quai. Une période mise à profit pour moderniser les équipements du remorqueur, avant la reprise de ses activités courant avril.
C'est au fond de la Penfeld, au bassin n° 7 où il est entré le 25 janvier, que le Rari se refait une santé. Une période d'entretien non programmée, en avance sur la prochaine période d'arrêt technique prévue en 2006. Depuis le 19 septembre, le Rari est en effet indisponible suite à une avarie des moteurs de propulsion, des « Wärtsila » qui ne sont plus commercialisés et pour lesquels il est difficile de se procurer des pièces de rechanges.
Cet arrêt forcé est mis à profit pour effectuer d'autres travaux. Réalisés conjointement par la DCN, le Service de soutien de la flotte (SSF), l'Atelier militaire de la flotte (AMF) et le soutien de la Base navale, ils concernent la réparation des caisses à eaux noires du bâtiment. Des caisses fortement corrodées, demandant aussi des travaux de désamiantage avant expertise. « Certains équipements doivent être modernisés afin d'équiper la passerelle du système de sécurité et localisation de navires en détresse, le SMDSM, de mettre en réseau les ordinateurs du bord et d'augmenter les capacités de lutte antipollution du bateau », explique le lieutenant de vaisseau Didier Gourtay, commandant du Rari.
Un bâtiment polyvalent
Durant cette période, les 27 membres de l'équipage s'impliquent également dans l'entretien. Cela concerne notamment les apparaux de manoeuvre qui sont les armes du remorqueur, des travaux de peinture. « La fin des travaux est programmée pour la mi-avril. Elle sera suivie d'une période d'entraînement et de remise à niveau de 15 jours. Début mai, le Rari reprendra ses missions de soutien au profit de l'action de l'état en mer », commente le commandant.
Construit en 1984 par le chantier Bréhéret à Couéron et affecté au centre d'expérimentation du Pacifique début 1985, le remorqueur ravitailleur Rari, a été rétrocédé par la DIRCEN (qui gérait les essais nucléaires dans le Pacifique) à la Marine nationale. Il est arrivé à Brest le 15 décembre 1998. Il permettait à la direction du port de disposer d'un bâtiment polyvalent de type supply aux capacités plus importantes que le remorqueur de haute mer Centaure, désarmé et vendu à la marine turque. En 2004, le Rari, absent 205 jours de son port base, a effectué 114 jours de mer et parcouru 17 000 nautiques (31 500 km). Sa mission de sept mois en océan Indien a été marquée par de nombreux travaux d'ancrage sur les sites de Djibouti, La Réunion et Mayotte. Son sister ship, le Révi est toujours affecté à Tahiti.
22 / 02 / 2005
Sujet : Le remorqueur ravitailleur répare ses moteurs et modernise ses équipements
Après sept mois de mission en océan Indien en 2004, le Rari confronté à des problèmes de motorisation et approvisionnement de pièces de rechange est immobilisé à quai. Une période mise à profit pour moderniser les équipements du remorqueur, avant la reprise de ses activités courant avril.
C'est au fond de la Penfeld, au bassin n° 7 où il est entré le 25 janvier, que le Rari se refait une santé. Une période d'entretien non programmée, en avance sur la prochaine période d'arrêt technique prévue en 2006. Depuis le 19 septembre, le Rari est en effet indisponible suite à une avarie des moteurs de propulsion, des « Wärtsila » qui ne sont plus commercialisés et pour lesquels il est difficile de se procurer des pièces de rechanges.
Cet arrêt forcé est mis à profit pour effectuer d'autres travaux. Réalisés conjointement par la DCN, le Service de soutien de la flotte (SSF), l'Atelier militaire de la flotte (AMF) et le soutien de la Base navale, ils concernent la réparation des caisses à eaux noires du bâtiment. Des caisses fortement corrodées, demandant aussi des travaux de désamiantage avant expertise. « Certains équipements doivent être modernisés afin d'équiper la passerelle du système de sécurité et localisation de navires en détresse, le SMDSM, de mettre en réseau les ordinateurs du bord et d'augmenter les capacités de lutte antipollution du bateau », explique le lieutenant de vaisseau Didier Gourtay, commandant du Rari.
Un bâtiment polyvalent
Durant cette période, les 27 membres de l'équipage s'impliquent également dans l'entretien. Cela concerne notamment les apparaux de manoeuvre qui sont les armes du remorqueur, des travaux de peinture. « La fin des travaux est programmée pour la mi-avril. Elle sera suivie d'une période d'entraînement et de remise à niveau de 15 jours. Début mai, le Rari reprendra ses missions de soutien au profit de l'action de l'état en mer », commente le commandant.
Construit en 1984 par le chantier Bréhéret à Couéron et affecté au centre d'expérimentation du Pacifique début 1985, le remorqueur ravitailleur Rari, a été rétrocédé par la DIRCEN (qui gérait les essais nucléaires dans le Pacifique) à la Marine nationale. Il est arrivé à Brest le 15 décembre 1998. Il permettait à la direction du port de disposer d'un bâtiment polyvalent de type supply aux capacités plus importantes que le remorqueur de haute mer Centaure, désarmé et vendu à la marine turque. En 2004, le Rari, absent 205 jours de son port base, a effectué 114 jours de mer et parcouru 17 000 nautiques (31 500 km). Sa mission de sept mois en océan Indien a été marquée par de nombreux travaux d'ancrage sur les sites de Djibouti, La Réunion et Mayotte. Son sister ship, le Révi est toujours affecté à Tahiti.