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Actualité Historique Desarme - Porte-avions - clemenceau
Porte Avions Clemenceau
clemenceau
Déplacement : 24200t
Longueur : 265m
Largeur : 51.2m
Tirant d'eau : 8.6m
Numéro de coque : R98
Date admission au service actif : 22/11/1961
Date retrait service actif : 03/03/1998
L'actualité / Historique est une page destinée à présenter l'actualité d'une unité. Elle est également destinée à présenter l'histoire d'une unité : son activité passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Porte Avions Clemenceau
Http://www.meretmarine.com
08 / 01 / 2009
Sujet : Brest : La marine brique le Clemenceau avant de l'expédier à la ferraille


C'est finalement au cours de la seconde quinzaine de janvier que l'ex-porte-avions Clemenceau devrait quitter Brest pour être remorqué vers les chantiers de démantèlement Able UK, en Angleterre.

Avant cela, les dispositions nécessaires à cet ultime voyage ont été prises : fermeture des ouvertures, arrimage des éléments mobiles, mise en place d'une signalisation lumineuse et d'un marquage pour le transfert, installation des remorques principales et de secours et de dispositifs de sécurité (groupes électrogènes, pompes d'assèchement, etc.)

Mais, avant son départ, les oeuvres vives du Q 790, c'est-à-dire la partie immergé de la coque, doivent être nettoyées. Des analyses ont en effet démontré que la tôle était couverte de plusieurs espèces de végétaux et d'animaux absentes de la région d'Hartlepool, où se situe le chantier de démolition. Non qu'il s'agisse d'organismes accrochés à la coque lors de son demi-tour du monde en 2006, mais d'espèces finistériennes...

Malgré la proximité géographique de la « petite » et la Grande-Bretagne, pour satisfaire à la réglementation environnementale en vigueur au Royaume-Uni, la marine est contrainte, à ses frais, de faire nettoyer la partie immergée du « Clem ». Une quinzaine de plongeurs (militaires) s'emploie donc, depuis la fin décembre, à gratter une épave aussi verte sous l'eau que de plus en plus brune de rouille à l'extérieur.

Et aux Brestois de se dire qu'avec le Clemenceau, rien n'aura été épargné aux marins, ni au contribuable.
Http://www.meretmarine.com
08 / 12 / 2008
Sujet : Clemenceau : Coque sur le départ et ultime recours devant les tribunaux


L'association finistérienne Agir pour l'environnement et le développement durable (AE2D) a déposé jeudi, devant le tribunal administratif de Rennes, un recours contre le départ vers la Grande-Bretagne de l'ex-porte-avions Clemenceau. Cette initiative fait suite à une réunion d'information, qui s'est déroulée mercredi dernier à Brest, où la vieille coque est en attente de transfert vers le chantier démantèlement anglais Able UK. Le recours déposé par AE2D vise l'autorisation de transfert de déchets accordée par la DRIRE de Bretagne pour le Q790, qui contiendrait 700 tonnes de matériaux amiantés. L'association conteste notamment la capacité et les compétences du chantier anglais pour assurer la démolition de l'ancien porte-avions de la Marine nationale.
Mercredi dernier, la préfecture maritime de l'Atlantique avait indiqué que le Q790 devrait quitter Brest avant la fin du mois. Après quatre jours de transit en remorque, la coque doit atteindre Hartlepool et le chantier Able UK, retenu par le ministère de la Défense en juillet à l'issue d'un appel d'offres européen.

02 / 01 / 2006
Sujet : clemenceau
image d'archives

29 / 12 / 2005
et revoilà le CLEM qui fait encore la une des journaux,et on ne va pas se priver, y compris de l'autre côté de la manche de porter des critiques sur la France .Les donneurs de leçon ne manquent pas,feraient mieux de balayer eux aussi devant leurs portes,et de s'insurger aussi des conditions de travail des pays qui acceptent de traiter nos résidus ,comme les leurs, dans des conditions qui font moins de polémiques.Le clem bouc émissaire,fastoche!Slowly,les anglos saxons....

27 / 08 / 2005
Sujet : Ce qui est triste dans cette affaire
C'est qu'il a fallu cette affaire pour qu'on se rende compte dans la Marine du problème de l'amiante au sein de ses navires car le Clem n'est pas le seul navire français à en être bourré de la cale à la mature. Que sont devenu les autres navires désarmés et que vont devenir ceux qui le seront dans les années à venir ? Et qu'en est-il des autres navires de guerres européens posant le même problème ?

27 / 08 / 2005
Sujet : Clemenceau Breaking
If the Clemenceau will still have asbestos inside (and other toxic residues), shouldn´t it be cut within EU borders?? Hasn´t anybody seen what happens in Alang when a ship arrives and is chopped with no control what-so-ever?? Does health or environment mean anything to french and the rest of EU countries??
Alabordache
26 / 08 / 2005
Sujet : Désamiantage du Clémenceau
Le désamiantage du "Clem" n'est pas terminé. Ce chantier a été confié par le service des domaines de l'état à la société SDI (Ship Decomissioning Industries). En effet, l'ancien porte avions n'appartient plus à la Marine nationale.

Une première partie avait été réalisée avant mars 2005 par le sous-traitant Technopure (Bouches-du-Rhône).
Une deuxième partie est en cours de réalisation depuis août et se terminera en septembre 2005 par la société sous-traitante Prestosid (Nord).

Ces travaux ne permettront pas le désamiantage complet du navire. En effet, il est impossible de la réaliser sans rendre les structures du Clémenceau instables et donc dangereuse pour l'environnement lors de son transfert vers l'Inde pour le démantèlement. La fin du désamiantage sera donc réalisée en Indes, navire échoué.
Alabordache
06 / 07 / 2005
Sujet : Décision judiciaire concernant le «Clemenceau»


Le tribunal de grande instance de Paris s'est déclaré incompétent le 5 juillet 2005 pour statuer sur la demande d'associations visant à interdire le départ de l'ex-porte-avions de la Marine nationale Clemenceau vers l'Inde. Le TGI s'appuie notamment sur le fait que «le navire est un matériel de guerre». L'Association nationale des victimes de l'amiante et Ban Asbestos (Bannir l'amiante) pourraient se pourvoir devant une juridiction administrative.
Liberation
16 / 03 / 2005
Sujet : DĂ©cision de justice ?
Les juges du tribunal de grande instance de Paris ont-ils un don de voyance ? On le croirait à la lecture de la décision prise hier dans l'affaire du Clemenceau, l'ancien porte-avions de la Marine nationale. Le président du TGI s'est en effet déclaré incompétent. Sur la foi d'un contrat qu'il n'a jamais vu. Il devait se prononcer sur la demande d'interdiction d'envoi du navire en Inde, où doit s'achever son désamiantage. «Le contrat par lequel l'Etat français a confié dans le cadre de ses prérogatives de puissance publique à la société SDI les travaux de désamiantage du porte-avions Clemenceau est en raison de son objet nécessairement soumis à un régime de droit public», estime le juge des référés.

«Désastreuses». Il renvoie donc implicitement devant un tribunal administratif les associations qui demandaient l'interdiction de l'exportation du navire, la branche française de Ban Asbestos (Bannir l'amiante) et l'Association de défense des victimes de l'amiante (Andeva). Ces associations s'élèvent contre «les conditions désastreuses dans lesquelles l'enlèvement de l'amiante est effectué en Inde» et les risques d'«atteinte grave à la santé des ouvriers indiens».

Le mystérieux contrat, que les avocats de SDI et de l'Etat ont refusé de produire lors de l'audience en référé, c'est celui qui lie depuis le 23 juin 2004 l'Etat français et le consortium SDI, filiale du géant allemand de l'acier ThyssenKrupp. Selon les déclarations de l'entreprise et de l'Etat, SDI se serait engagé à effectuer, via son sous-traitant Technopure, l'essentiel du désamiantage du Clem à Toulon, le reste de l'amiante devant être retiré en Inde, où il sera aussi procédé au démantèlement du bateau et à la vente de l'acier.

Hier, Ban Asbestos France et l'Andeva ont décidé de faire appel. «Nous voulons que toute la lumière soit faite, explique leur avocat, François Lafforgue. Manifestement on nous cache des choses», a-t-il ajouté, faisant allusion aux déclarations de la société Technopure publiées hier par Libération.

«Aucun Indien». SDI et l'Etat ont toujours expliqué que le personnel indien serait formé au désamiantage selon les normes françaises, à Toulon par Technopure, cette entreprise devant ensuite assurer le contrôle du chantier indien avec SDI. Une démarche exemplaire... sur le papier. Car Technopure a préféré dénoncer, le 15 février, la clause de son contrat par laquelle elle se chargeait d'informer le personnel indien, faute d'avoir obtenu les moyens de tenir cet engagement. «Nous n'avons jamais vu aucun Indien sur le chantier», affirme la direction de Technopure. L'entreprise, qui vient d'achever le chantier de désamiantage sur le sol français, explique en outre qu'elle aurait pu enlever beaucoup plus d'amiante, contrairement aux affirmations de l'Etat et de SDI. Selon Technopure, «seul l'amiante friable qui se trouvait dans le compartiment machines et les deux catapultes» a été retiré. Or il reste à bord beaucoup d'amiante non friable qui aurait pu être enlevé sans toucher aux structures du navire.

François Lafforgue rappelle qu'une autre procédure visant à faire interdire le départ du Clemenceau est en cours, déposée par le comité antiamiante de Jussieu devant le tribunal administratif.
Alabordache
25 / 02 / 2005
Sujet : Le «Clemenceau» n'a pas la fibre voyageuse


Alors que le désamiantage devait s’effectuer en Espagne par l’entreprise Gijonesa de Desquaces pour le rachat de 22 000 tonnes de ferraille, la France avait alors découvert que le bateau était remorqué vers la Turquie. Le Clémenceau avait donc rejoint son ancien port d’attache de Toulon en décembre 2003 au terme d’une odyssée d’un mois en Méditerranée et la résiliation par la France d’un contrat avec l’entreprise espagnol.

La France a passé en juin dernier un contrat avec la société SDI (Ship Decomissioning Industries Corporation) pour le désamiantage des organes non vitaux pour la flottabilité du Clémenceau. Le reste de l’amiante devait être traité en Inde, après l’ultime voyage du vieux Tigre.

Les travaux de désamiantage de l’ancien porte-avions Clémenceau, ont commencé en novembre 2004 à Toulon. Pour l’instant, 250 tonnes de matière ont été retirées du porte-avions, mais la proportion d’amiante dans ces déchets n’a pas été précisée par le Ministère de la Défense. Les travaux étant considérés comme quasiment achevés, un bilan de dépollution et un bilan du travail doivent être fait dans les prochains jours.

Dans un communiqué de presse commun, l’ARDEVA Sud-Est (Toulon/Var), le syndicat CGT de la DCN Toulon et les représentants français du réseau BAN ASBESTOS ont dénoncé dès décembre 2004 « une opération sans réel contrôle et une exportation illégale de déchets ».
« Par une lettre ouverte à la Ministre des Armées en date du 20 Décembre 2004, le syndicat a tenté d’alerter l’opinion publique sur deux points : les conditions anormales dans lesquelles se déroule actuellement le désamiantage du porte-avion Clémenceau ; et l’exportation prévue vers l’Inde de 22 tonnes de déchets d’amiante au mépris de la santé des travailleurs indiens ».

Deux associations écologistes ont assigné devant le tribunal administratif l’Etat et la société SDI (Ship Decomissioning Industries Corporation) qui est adjudicataire du marché de démantèlement de l’ancien porte-avions français. Ces 2 associations prétendent que le porte-avions Clémenceau comporte encore des déchets (de l’amiante) dont l’exportation est interdite par une convention internationale signée par la France.
De plus, selon ces associations, la société SDI ne peut espérer faire du bénéfice qu’en ne respectant pas les mesures de protection des salariés lors du démantèlement en Inde.
Le Ministère de la Défense déclare, quant à lui, que la France forme des cadres indiens qui dirigeront le chantier de démantèlement du Clémenceau à Alang, dans la province du Gujarat (Inde). De plus l’Etat prétend que le départ du Clémenceau est légal et que le désamiantage en Inde sera contrôlé par des inspecteurs européens indépendants.
Les associations ont donc saisi le tribunal administratif afin d’interdire le départ du Clémenceau vers l’Inde. L’audience est fixée au 31 mars 2005.

Construit à Brest à partir de 1955, mis à l’eau deux ans plus tard et mis en service en 1961 le Clem’, comme disent les intimes, prit sa retraite en 1997, remplacé par le porte-avions à propulsion nucléaire Charles-de-Gaulle. A l’issue de sa carrière, il totalisait plus d’un million de milles nautiques parcourus sur tous les océans, soient 48 fois le tour du globe, 3125 jours de mer, 80000 heures de fonctionnement et plus de 70000 catapultages.
Année : (champs indispensable,sur 4 chiffres)
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