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L’Institut français de Recherche pour le Développement (IRD), travers son antenne située à Nouméa (Nouvelle-Calédonie), déclare surveiller de près l’activité du volcan Marum de l’île d’Ambrym (Nord de l’archipel voisin de Vanuatu) qui, depuis quatre mois, provoque des retombées acides qui ont d’ores et déjà entraîné une destruction des cultures vivrières et une pénurie alimentaire et en eau potable sur cette île.
Lors d’une récente visite à Ambrym, l y a une dizaine de jours, le volcanologue de l’IRD Michel Lardy a pu évaluer la situation sur place. Au journal télévisé de RFO-Nouvelle-Calédonie, il a estimé à deux milliers le nombre d’habitants d’Ambrym directement touchés par cette pénurie due aux effets néfastes du Marum. Il a toutefois relativisé les risques d’une explosion majeure de type cataclysmique (dont la dernière remonte à environ deux mille ans sur cette île).
Le Marum, selon lui, du fait de son activité quais-permanente, "respire assez bien", ce qui exclurait de ce fait le risque d’accumulation de pression à l’intérieur du cône.
Ce qui, selon lui, n’est pas le cas d’un autre volcan de Vanuatu, sur l’île d’Ambae, qui est obstrué à son sommet par un lac acide et présenterait donc beaucoup plus de risques d’une explosion potentielle.
En début de semaine, le service vanuatuan de la géologie et des mines a conseillé aux populations d’Ambrym de couvrir leurs réserves d’eau potable (principalement résultant de la collecte de l’eau de pluie) afin qu’elles ne soient pas contaminées par les retombées acides du Marum.
Par ailleurs, en Nouvelle-Calédonie (où vit une importante communauté ni-Vanuatu), un élan de solidarité a commencé et s’est matérialisé par la collecte de fonds et d’une dizaine de tonnes de riz, qui devraient prochainement être acheminée sur Ambrym.
En avril dernier, un chargement d’un volume comparable avait été acheminé sur Ambrym par le bâtiment de transport léger Jacques Cartier de la marine nationale française basée à Nouméa.
Depuis près de 25 ans, une association de passionnés tente d'élucider les circonstances du naufrage, il y a plus de deux siècles, des deux frégates de l'explorateur Jean-François de Galaup de Lapérouse, "L'Astrolabe" et "La Boussole", sur le récif de Vanikoro, une île minuscule du sud de l'archipel des Salomon.
Soutenue par plusieurs ministères et placée sous le haut patronage du président Jacques Chirac, cette septième campagne va bénéficier de la mise à disposition par la Marine Nationale du Jacques Cartier, un bâtiment de transport léger basé à Nouméa.
Source : cols bleus 15 / 03 / 2002 Sujet : Aide humanitaire au royaume des TongaL'équipage du Jacques Cartier a procédé, le vendredi 22 février, à Papeete, à l'embarquement de vivres et de matériaux de construction destinés à l'archipel des Tonga, touché, le 31 décembre dernier, par le cyclone Waka.
L'aide embarquée, soit 85 tonnes au total, est constituée de matériel mis à disposition par l'Etat et d'un lot provenant du comité tahitien de la Croix-Rouge française, répondant à des besoins précis exprimés par les autorités tongiennes.
Outre le matériau et les équipements nécessaires à la reconstruction des habitations détruites, trente tonnes d'aide alimentaire et vingt tronçonneuses utiles au dégagement des terres cultivables ont été transportées par le Jacques Cartier.