Actualité Historique Marine - Autresbatiments - dumontdurville
Bâtiment de transport léger Dumont d'Urville
Déplacement : 770t
Longueur : 80m
Largeur : 13m
Tirant d'eau : 3m
Numéro de coque : L9032
Date admission au service actif : 05/02/1983
Longueur : 80m
Largeur : 13m
Tirant d'eau : 3m
Numéro de coque : L9032
Date admission au service actif : 05/02/1983
-Bâtiment de transport léger Dumont d'Urville
-Présentation Bâtiment de transport lĂ©ger Dumont d'Urville (Mettre ŕ jour)
-Forum Bâtiment de transport léger Dumont d'Urville
-Histoire Bâtiment de transport léger Dumont d'Urville
-Réseau Bâtiment de transport lĂ©ger Dumont d'Urville
-Photographies du Bâtiment de transport léger Dumont d'Urville
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/ Historique est une page destinée à présenter
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à présenter l'histoire d'une unité : son activité
passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Bâtiment de transport lĂ©ger Dumont d'Urville
Tahiti press
25 / 08 / 2008
Sujet : Des nouvelles du Pacifique: Prise de commandement sur le batral Dumont d'Urville
: 31/07/2008 Ă 11:18
(Tahitipresse) - Cérémonie de prise de commandement, jeudi matin, à la base navale de Papeete. Le capitaine de corvette Jean-Michel Gilles est désormais le nouveau commandant du bâtiment de transport léger (batral) Dumont d'Urville. Ce bâtiment militaire effectue des missions dans les cinq archipels de la Polynésie française depuis juin 1983.
Le capitaine de vaisseau Nicolas Gempp a fait reconnaître le capitaine de corvette Jean-Michel Gilles, dans ses nouvelles fonctions de commandant du batral Dumont d'Urville.
Engagé dans la Marine nationale le 1er octobre 1987, Jean-Michel Gilles a intégré l'Ecole Militaire de la Flotte trois ans plus tard. Il a été promu lieutenant de vaisseau en août 1996, puis capitaine de corvette le 1er mars 2004.
Au cours de sa carrière, Jean-Michel Gilles a notamment opéré à bord de nombreux sous-marins tels le Praya, le Doris, et le Psyche. En août 2007, il a ensuite rejoint le centre des opérations maritimes de Toulon, en métropole, où il était en charge de la section "sous-marin", et de la cellule de management de l'information.
Le batral Dumont d'Urville, l'une des principales unités de la Marine nationale en Polynésie française, a initialement été construit pour transporter des compagnies d'infanterie motorisée.
Affecté en Polynésie le 13 juin 1983, ce bâtiment participe, depuis lors, à des missions de transport, de sûreté et de surveillance de la zone économique exclusive, de sauvetage, et de soutien humanitaire en cas de catastrophes naturelles.
25 / 08 / 2008
Sujet : Des nouvelles du Pacifique: Prise de commandement sur le batral Dumont d'Urville
: 31/07/2008 Ă 11:18
(Tahitipresse) - Cérémonie de prise de commandement, jeudi matin, à la base navale de Papeete. Le capitaine de corvette Jean-Michel Gilles est désormais le nouveau commandant du bâtiment de transport léger (batral) Dumont d'Urville. Ce bâtiment militaire effectue des missions dans les cinq archipels de la Polynésie française depuis juin 1983.
Le capitaine de vaisseau Nicolas Gempp a fait reconnaître le capitaine de corvette Jean-Michel Gilles, dans ses nouvelles fonctions de commandant du batral Dumont d'Urville.
Engagé dans la Marine nationale le 1er octobre 1987, Jean-Michel Gilles a intégré l'Ecole Militaire de la Flotte trois ans plus tard. Il a été promu lieutenant de vaisseau en août 1996, puis capitaine de corvette le 1er mars 2004.
Au cours de sa carrière, Jean-Michel Gilles a notamment opéré à bord de nombreux sous-marins tels le Praya, le Doris, et le Psyche. En août 2007, il a ensuite rejoint le centre des opérations maritimes de Toulon, en métropole, où il était en charge de la section "sous-marin", et de la cellule de management de l'information.
Le batral Dumont d'Urville, l'une des principales unités de la Marine nationale en Polynésie française, a initialement été construit pour transporter des compagnies d'infanterie motorisée.
Affecté en Polynésie le 13 juin 1983, ce bâtiment participe, depuis lors, à des missions de transport, de sûreté et de surveillance de la zone économique exclusive, de sauvetage, et de soutien humanitaire en cas de catastrophes naturelles.
Alabordache
06 / 09 / 2005
Sujet : Marine nationale : stage de remise en condition à TahitiLes bâtiments de la Marine nationale basés à Tahiti renouvellent entièrement leur équipage tous les ans, à l'été. Afin de remettre en conditions opérationnelles ces navires, le commandement organique de la force d'action navale (ALFAN) organise annuellement, un stage "MECO". Ce stage permet de tester la capacité de l'équipage à naviguer en toute sécurité nautique, à valider l'organisation incendie du bord et à valider ses capacités de combat. 17 entraîneurs ont donc fait le déplacement depuis Toulon pour organiser et superviser ces manoeuvres.
En effet, les missions de ces bâtiments, tournées principalement vers l'action d'état en mer, doivent se dérouler dans les meilleures conditions. Les bâtiments basés à Tahiti sont la frégate de surveillance "Prairial", les patrouilleurs "La Railleuse" et "La Tapageuse", le BATRAL "Dumont d'Urville" et le "Révi".
06 / 09 / 2005
Sujet : Marine nationale : stage de remise en condition à TahitiLes bâtiments de la Marine nationale basés à Tahiti renouvellent entièrement leur équipage tous les ans, à l'été. Afin de remettre en conditions opérationnelles ces navires, le commandement organique de la force d'action navale (ALFAN) organise annuellement, un stage "MECO". Ce stage permet de tester la capacité de l'équipage à naviguer en toute sécurité nautique, à valider l'organisation incendie du bord et à valider ses capacités de combat. 17 entraîneurs ont donc fait le déplacement depuis Toulon pour organiser et superviser ces manoeuvres.
En effet, les missions de ces bâtiments, tournées principalement vers l'action d'état en mer, doivent se dérouler dans les meilleures conditions. Les bâtiments basés à Tahiti sont la frégate de surveillance "Prairial", les patrouilleurs "La Railleuse" et "La Tapageuse", le BATRAL "Dumont d'Urville" et le "Révi".
Alabordache
11 / 06 / 2005
Sujet : Découverte d’une torpille d’exercice aux TuamotuDans le cadre de la recherche et de la neutralisation de munitions et engins non explosés, le groupe d'intervention NEDEX de l'armée a réalisé l'enlèvement d'une torpille marine d'exercice d'environ 2,5 m sur l'atoll de Tahaena, dans l'archipel des Tuamotu, indique le commandement des forces armées en Polynésie française dans un communiqué. "Cette intervention, pratiquée à l'occasion du passage sur zone du Batral Dumont d'Urville à été demandée par le Haut-commissariat, suite à la découverte faite par un policier municipal de Faaite (ndlr, île voisine de Tahaena, aux Tuamotu) mercredi 1er juin", ajoute le communiqué des forces armées. L'engin doit être ramené à Tahiti par le "Dumont d'Urville" pour ensuite être détruit par le NEDEX. "A l'heure actuelle, nous ne savons pas d'où vient cette torpille, de quel navire elle provient ou depuis quand elle est là -bas. Les informations recueillies sur place ont été transmises à Paris et devraient nous permettre d'en savoir plus", a expliqué le colonel Savary, du commandement supérieur des forces armées en Polynésie française.
11 / 06 / 2005
Sujet : Découverte d’une torpille d’exercice aux TuamotuDans le cadre de la recherche et de la neutralisation de munitions et engins non explosés, le groupe d'intervention NEDEX de l'armée a réalisé l'enlèvement d'une torpille marine d'exercice d'environ 2,5 m sur l'atoll de Tahaena, dans l'archipel des Tuamotu, indique le commandement des forces armées en Polynésie française dans un communiqué. "Cette intervention, pratiquée à l'occasion du passage sur zone du Batral Dumont d'Urville à été demandée par le Haut-commissariat, suite à la découverte faite par un policier municipal de Faaite (ndlr, île voisine de Tahaena, aux Tuamotu) mercredi 1er juin", ajoute le communiqué des forces armées. L'engin doit être ramené à Tahiti par le "Dumont d'Urville" pour ensuite être détruit par le NEDEX. "A l'heure actuelle, nous ne savons pas d'où vient cette torpille, de quel navire elle provient ou depuis quand elle est là -bas. Les informations recueillies sur place ont été transmises à Paris et devraient nous permettre d'en savoir plus", a expliqué le colonel Savary, du commandement supérieur des forces armées en Polynésie française.