Actualité Historique Desarme - Amphibie - ouragan
Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan
Déplacement : 6000t
Longueur : 149m
Largeur : 21,5m
Tirant d'eau : 5,4m
Numéro de coque : L9021
Date admission au service actif : 01/06/1965
Date retrait service actif : 01/2007
Longueur : 149m
Largeur : 21,5m
Tirant d'eau : 5,4m
Numéro de coque : L9021
Date admission au service actif : 01/06/1965
Date retrait service actif : 01/2007
-Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan
-Présentation Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan (Mettre ŕ jour)
-Forum Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan
-Histoire Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan
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Actualité Transport de Chalands de DĂ©barquement Ouragan
Http://www.meretmarine.com
21 / 11 / 2008
Sujet : Le TCD Ouragan prépare sa dernière cérémonie des couleurs
Retiré du service actif en 2006, le transport de chalands de débarquement Ouragan devrait connaître sa dernière cérémonie des couleurs début décembre. La date du 5 décembre est évoquée mais la décision n'a pas été encore prise selon la marine. A l'issue, le TCD, qui ne portera plus qu'un numéro de coque, deviendra propriété des Domaines. Il sera ensuite incorporé dans une future filière de démantèlement. La condamnation de l'Ouragan sera suivie, en 2009, par celle de son sistership, l'Orage. Ces bâtiments de 149 mètres, qui pouvaient embarquer 8 chalands (CTM), ont été mis en service en 1965 et 1968. Ils ont été remplacés en 2006 et 2007 par les bâtiments de projection et de commandement Mistral et Tonnerre.
21 / 11 / 2008
Sujet : Le TCD Ouragan prépare sa dernière cérémonie des couleurs
Retiré du service actif en 2006, le transport de chalands de débarquement Ouragan devrait connaître sa dernière cérémonie des couleurs début décembre. La date du 5 décembre est évoquée mais la décision n'a pas été encore prise selon la marine. A l'issue, le TCD, qui ne portera plus qu'un numéro de coque, deviendra propriété des Domaines. Il sera ensuite incorporé dans une future filière de démantèlement. La condamnation de l'Ouragan sera suivie, en 2009, par celle de son sistership, l'Orage. Ces bâtiments de 149 mètres, qui pouvaient embarquer 8 chalands (CTM), ont été mis en service en 1965 et 1968. Ils ont été remplacés en 2006 et 2007 par les bâtiments de projection et de commandement Mistral et Tonnerre.
Alabordache
14 / 10 / 2005
Sujet : L'Ouragan en escale à Port Bissau (Guinée Bissau)La France a décidé d'envoyer 3,5 tonnes de médicaments contre le choléra en Guinée Bissau où cette épidémie a fait quelque 300 morts sur les 18 000 cas enregistrés depuis le 11 juin dernier.
Ce lot de médicaments français a été transporté par le transport de chalands de débarquement (TCD) Ouragan. Avant de mettre le cap sur Port Bissau, le TCD a fait escale à Dakar où il a embarqué 450 kilos de matériel médical et sanitaire offert par la Croix Rouge algérienne..
L'Ouragan restera quatre jours (du 13 octobre au 17 octobre 2005) à Port Bissau et apportera son soutien aux autorités locales. Ainsi, les embarcations légères du navire serviront à ravitailler et acheminer l'aide aux populations résidant dans une dizaine d'îles de l'archipel de Bijagos.
14 / 10 / 2005
Sujet : L'Ouragan en escale à Port Bissau (Guinée Bissau)La France a décidé d'envoyer 3,5 tonnes de médicaments contre le choléra en Guinée Bissau où cette épidémie a fait quelque 300 morts sur les 18 000 cas enregistrés depuis le 11 juin dernier.
Ce lot de médicaments français a été transporté par le transport de chalands de débarquement (TCD) Ouragan. Avant de mettre le cap sur Port Bissau, le TCD a fait escale à Dakar où il a embarqué 450 kilos de matériel médical et sanitaire offert par la Croix Rouge algérienne..
L'Ouragan restera quatre jours (du 13 octobre au 17 octobre 2005) à Port Bissau et apportera son soutien aux autorités locales. Ainsi, les embarcations légères du navire serviront à ravitailler et acheminer l'aide aux populations résidant dans une dizaine d'îles de l'archipel de Bijagos.
Alabordache
09 / 10 / 2005
Sujet : L'Ouragan en escale à Dakar (Sénégal)
Le Transport de Chalands de Débarquement (TCD) Ouragan est en escale à Dakar depuis le samedi 8 octobre 2005. Cette escale de routine s'inscrit dans le cadre d'une mission de présence française au large des côtes de l'Afrique de l'Ouest, région politiquement instable de l'Afrique où vivent de nombreux ressortissants français.
Le TCD Ouragan est le plus ancien des navires amphibies de la Marine nationale. Il sera remplacé par le Mistral en 2006. L'ouragan sera ensuite probablement vendu à l'Argentine.
09 / 10 / 2005
Sujet : L'Ouragan en escale à Dakar (Sénégal)
Le Transport de Chalands de Débarquement (TCD) Ouragan est en escale à Dakar depuis le samedi 8 octobre 2005. Cette escale de routine s'inscrit dans le cadre d'une mission de présence française au large des côtes de l'Afrique de l'Ouest, région politiquement instable de l'Afrique où vivent de nombreux ressortissants français.
Le TCD Ouragan est le plus ancien des navires amphibies de la Marine nationale. Il sera remplacé par le Mistral en 2006. L'ouragan sera ensuite probablement vendu à l'Argentine.
Alabordache
20 / 01 / 2005
Sujet : Le TCD Ouragan en esclae au GhanaLe Transport de Chalands de Débarquement Ouragan est en escale à Tema (Ghana) du 19 janvier au 24 janvier 2005.
Cette escale s'inscrit dans le renforcement des relations bilatérales entre les Marines Ghanéennes et françaises.
En particulier, une équipe médicale du bâtiment de la Marine nationale française Ouragan offrira ses services à un hôpital militaire de Dawhenya (Ghana). Cette équipe est composée de 2 médecins, 2 infirmiers et 8 membres de l'équipage de l'Ouragan.
Le commandant du TCD Ouragan, le capitaine de vaisseau Pons a réaffirmé la volonté de la France de renforcer les liens maritimes avec le Ghana.
20 / 01 / 2005
Sujet : Le TCD Ouragan en esclae au GhanaLe Transport de Chalands de Débarquement Ouragan est en escale à Tema (Ghana) du 19 janvier au 24 janvier 2005.
Cette escale s'inscrit dans le renforcement des relations bilatérales entre les Marines Ghanéennes et françaises.
En particulier, une équipe médicale du bâtiment de la Marine nationale française Ouragan offrira ses services à un hôpital militaire de Dawhenya (Ghana). Cette équipe est composée de 2 médecins, 2 infirmiers et 8 membres de l'équipage de l'Ouragan.
Le commandant du TCD Ouragan, le capitaine de vaisseau Pons a réaffirmé la volonté de la France de renforcer les liens maritimes avec le Ghana.
Source : afp
30 / 01 / 2003
Sujet : CĂ´te d'Ivoire: la France se tient prĂŞte Ă Ă©vacuer ses ressortissantsUne évacuation des quelque 16.000 ressortissants français de Côte d'Ivoire, si elle était décidée, pourrait s'appuyer sur les moyens militaires aériens et navals déjà présents en Afrique, mais également sur d'éventuels moyens de transport civils.
La France est prête "à réaliser une évacuation à tout moment" de ses ressortissants en Côte d'Ivoire, a déclaré mercredi le ministre français des Affaires étrangères Dominique de Villepin, qualifiant la situation de "très difficile".
Pour sa collègue à la Défense, Michèle Alliot-Marie, il n'est cependant pas "question de rapatriement de Français, sauf pour les familles qui le souhaiteraient". "Aujourd'hui et depuis 48 heures, la situation est calme", a-t-elle souligné.
Si elle devait avoir lieu, cette évacuation serait gigantesque, compte tenu du nombre de ressortissants à protéger. Les principales évacuations réalisées par l'armée française avaient concerné 2.500 ressortissants étrangers au Congo en 1998, quelque 6.000 également au Congo en 1997, 1.600 en Centrafrique en 1996 et un millier au Rwanda en 1994.
Si une telle opération devait être décidée, l'armée dispose déjà à Abidjan de quatre avions de transport tactique Transall, qui peuvent transporter chacun 75 personnes, et pourraient faire des rotations vers un pays voisin.
Ces appareils pourraient aussi être renforcés par autant de Transall stationnés dans les bases françaises en Afrique, notamment à N'Djamena et Dakar.
L'armée de l'air pourrait également être sollicitée pour augmenter ses moyens, et dispose pour cela de gros porteurs Hercules, de deux DC-8 transportant chacun 170 passagers, ainsi que de trois Airbus A-310 (185 passagers).
"Dans l'absolu, on peut tout envisager", expliquait mercredi un spécialiste sous couvert de l'anonymat, y compris la location de gros porteurs ou la réquisition d'appareils de transport civil pour établir une sorte de pont aérien d'urgence.
Cette dernière solution est cependant très difficile à mettre en oeuvre, les compagnies ne disposant généralement pas ou très peu d'appareils non employés et immédiatement disponibles.
Mais c'est la Marine qui, dans le scénario d'une évacuation massive, serait la plus sollicitée.
Abijdan est situé en effet en bord de mer et la Marine française dispose dans la zone de deux bâtiments amphibie, --l'"Orage" et l'"Ouragan"-- des "Transports de chalands de débarquement" qui comprennent habituellement un équipage de 400 à 500 marins.
En situation d'urgence, ces bâtiments conçus pour amener sur une zone opérationnelle hommes, blindés, véhicules et ravitaillement, peuvent transporter jusque 3.000 personnes sur de courtes distances et pourraient être sollicités pour des rotations vers un port d'un pays ami.
Ils sont en outre équipés d'hélicoptères lourds, Super/frelon ou Puma.
La Marine dispose aussi d'un nombre non précisé de bâtiments dans la région.
Sur place à Abidjan, la technique de l'îlotage serait vraisemblablement mise en place dans le scénario d'une évacuation. Tout Français installé dans la ville, comme d'ailleurs partout en Afrique, est en contact avec les concitoyens de sa zone.
En cas d'évacuation, la consigne serait ainsi rapidement transmise de se regrouper en un point donné, là où l'armée prendrait alors en charge chaque groupe, quartier par quartier, et répéterait cette opération partout où se trouvent des Français.
30 / 01 / 2003
Sujet : CĂ´te d'Ivoire: la France se tient prĂŞte Ă Ă©vacuer ses ressortissantsUne évacuation des quelque 16.000 ressortissants français de Côte d'Ivoire, si elle était décidée, pourrait s'appuyer sur les moyens militaires aériens et navals déjà présents en Afrique, mais également sur d'éventuels moyens de transport civils.
La France est prête "à réaliser une évacuation à tout moment" de ses ressortissants en Côte d'Ivoire, a déclaré mercredi le ministre français des Affaires étrangères Dominique de Villepin, qualifiant la situation de "très difficile".
Pour sa collègue à la Défense, Michèle Alliot-Marie, il n'est cependant pas "question de rapatriement de Français, sauf pour les familles qui le souhaiteraient". "Aujourd'hui et depuis 48 heures, la situation est calme", a-t-elle souligné.
Si elle devait avoir lieu, cette évacuation serait gigantesque, compte tenu du nombre de ressortissants à protéger. Les principales évacuations réalisées par l'armée française avaient concerné 2.500 ressortissants étrangers au Congo en 1998, quelque 6.000 également au Congo en 1997, 1.600 en Centrafrique en 1996 et un millier au Rwanda en 1994.
Si une telle opération devait être décidée, l'armée dispose déjà à Abidjan de quatre avions de transport tactique Transall, qui peuvent transporter chacun 75 personnes, et pourraient faire des rotations vers un pays voisin.
Ces appareils pourraient aussi être renforcés par autant de Transall stationnés dans les bases françaises en Afrique, notamment à N'Djamena et Dakar.
L'armée de l'air pourrait également être sollicitée pour augmenter ses moyens, et dispose pour cela de gros porteurs Hercules, de deux DC-8 transportant chacun 170 passagers, ainsi que de trois Airbus A-310 (185 passagers).
"Dans l'absolu, on peut tout envisager", expliquait mercredi un spécialiste sous couvert de l'anonymat, y compris la location de gros porteurs ou la réquisition d'appareils de transport civil pour établir une sorte de pont aérien d'urgence.
Cette dernière solution est cependant très difficile à mettre en oeuvre, les compagnies ne disposant généralement pas ou très peu d'appareils non employés et immédiatement disponibles.
Mais c'est la Marine qui, dans le scénario d'une évacuation massive, serait la plus sollicitée.
Abijdan est situé en effet en bord de mer et la Marine française dispose dans la zone de deux bâtiments amphibie, --l'"Orage" et l'"Ouragan"-- des "Transports de chalands de débarquement" qui comprennent habituellement un équipage de 400 à 500 marins.
En situation d'urgence, ces bâtiments conçus pour amener sur une zone opérationnelle hommes, blindés, véhicules et ravitaillement, peuvent transporter jusque 3.000 personnes sur de courtes distances et pourraient être sollicités pour des rotations vers un port d'un pays ami.
Ils sont en outre équipés d'hélicoptères lourds, Super/frelon ou Puma.
La Marine dispose aussi d'un nombre non précisé de bâtiments dans la région.
Sur place à Abidjan, la technique de l'îlotage serait vraisemblablement mise en place dans le scénario d'une évacuation. Tout Français installé dans la ville, comme d'ailleurs partout en Afrique, est en contact avec les concitoyens de sa zone.
En cas d'évacuation, la consigne serait ainsi rapidement transmise de se regrouper en un point donné, là où l'armée prendrait alors en charge chaque groupe, quartier par quartier, et répéterait cette opération partout où se trouvent des Français.