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Marines de guerre
Description : Forum qui suit toute l'actualité des marines de guerre : La guerre Occident/Afghanistan
Nom modérateur : Alabordache
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Forum Marines de guerre
Robert burns pour ap
30 / 09
Sujet : Les forces spéciales de l'armée américaineLes forces spéciales de l'armée américaine, dont certains membres dont déjà présents en Afghanistan selon des responsables du Pentagone, comptent environ 29.000 hommes originaires de l'Armée de terre (US Army), de l'Armée de l'air (US Air Force) et de la Marine (US Navy).
Ces forces sont regroupées au sein du United States Special Operations Command (USSOCOM) dont le siège se trouve sur la base aérienne de McDill en Floride. Le corps des Marines n'en fait pas partie.
Soldats non conventionnels pour une guerre non conventionnelle, ces hommes surentraînés ne sont toutefois pas en mesure de se fondre dans la population locale, leur mission étant essentiellement limitée dans la durée: identifier des cibles, frapper un objectif militaire, libérer des otages ou enlever un ennemi.
L'USSOCOM a été créé en 1987 après que le Pentagone eut tiré les leçons de l'échec retentissant en avril 1980 de la tentative de libération des otages américains en Iran. L'opération ''Desert One'' s'était alors soldée par la mort de huit hommes dans le désert près de Tabas (est).
Du côté de l'US Army, les commandos les plus célèbres sont les Rangers. Ces derniers se sont notamment illustrés au Panama en 1989 pour y déloger le général Manuel Noriega. Ils ont aussi mené des raids éclairs lors de la guerre du Golfe en 1991, n'enregistrant aucune perte. Mais en octobre 1993, 18 membres des Rangers et de la Force Delta (unité antiterroriste) furent tués à Mogadiscio alors qu'ils étaient sur la piste du chef de guerre somalien Mohamed Farah Aïdid. Le 75e régiment des Rangers est basé à Fort Benning (Géorgie).
L'US Army compte également une composante aéroportée: le 160e régiment aérien des opérations spéciales (SOAR), dont les hommes sont surnommés les ''night stalkers'' (chasseurs de la nuit). Basée à Fort Campbell (Kentucky), cette unité utilise des hélicoptères MH-60 Blackhawk et CH-47 Chinook pour transporter les commandos derrière les lignes ennemies. Leur devise est: ''La mort guette dans l'obscurité''.
L'autre pilier de l'Armée de terre est le corps des Special Forces, surnommés les bérets verts. Leur mission principale est ''la reconnaissance spéciale'': infiltrer la zone ennemie par terre ou par air pour y surveiller une région ou un site, mais aussi localiser des cibles à frapper.
Les Forces spéciales doivent pouvoir y rester de façon autonome pendant des jours, des semaines, voire des mois. Elles l'ont notamment fait juste avant la guerre du Golfe.
Les Forces spéciales sont divisées en cinq unités d'active, dont le 5e groupe aéroporté qui s'est entraîné dans le Golfe et au Pakistan ces dernières années. Si des commandos des Forces spéciales sont en Afghanistan, il y a fort à parier que ce soient des hommes du 5e groupe. En août 1992, quatre mois avant l'arrivée des soldats américains en Somalie, ils étaient déjà là.
Enfin, la Force Delta est l'unité antiterroriste de l'Armée de terre. Impliquée dans le fiasco iranien de 1980, elle a essentiellement pour rôle de sauver des otages. Basée à Fort Bragg (Caroline du Nord), ses effectifs -tenus secrets- sont composés de Rangers, des bérets verts et des paras de la célèbre 82e division aéroportée (82nd Airborne), celle qui combattit en Normandie en juin 1944. Ses hommes ont été au Panama et dans le Golfe.
Du côté de l'US Air Force, on recense la 16e brigade aérienne des opérations spéciales. Forte de 7.000 hommes, elle dispose d'AC-130 Spectre (un C-130 transformé en plateforme d'artillerie volante), d'hélicoptères MH-53 Pave Low et et d'avions MC-130 Combat Talon à long rayon d'action permettant une pénétration nocturne à basse altitude pour larguer des parachutistes et du matériel. La devise de cette unité basée à Hurlburt (Floride) est ''N'importe quand, n'importe où''.
En cas d'opération en Afghanistan, l'USAF peut aussi compter sur des hommes du 720e groupe de tactiques spéciales (STG), également basés à Hurlburt. Les commandos sont notamment entraînés à s'emparer d'un aéroport pour y préparer l'arrivée des renforts aériens.
Enfin, l'US Navy dispose des commandos SEALs (SEa, Air, Land -mer air, terre), ces célèbres plongeurs de combat passés maîtres dans l'art des opérations commando sous-marines, mais aussi dans les missions de reconnaissance et de renseignement.
30 / 09
Sujet : Les forces spéciales de l'armée américaineLes forces spéciales de l'armée américaine, dont certains membres dont déjà présents en Afghanistan selon des responsables du Pentagone, comptent environ 29.000 hommes originaires de l'Armée de terre (US Army), de l'Armée de l'air (US Air Force) et de la Marine (US Navy).
Ces forces sont regroupées au sein du United States Special Operations Command (USSOCOM) dont le siège se trouve sur la base aérienne de McDill en Floride. Le corps des Marines n'en fait pas partie.
Soldats non conventionnels pour une guerre non conventionnelle, ces hommes surentraînés ne sont toutefois pas en mesure de se fondre dans la population locale, leur mission étant essentiellement limitée dans la durée: identifier des cibles, frapper un objectif militaire, libérer des otages ou enlever un ennemi.
L'USSOCOM a été créé en 1987 après que le Pentagone eut tiré les leçons de l'échec retentissant en avril 1980 de la tentative de libération des otages américains en Iran. L'opération ''Desert One'' s'était alors soldée par la mort de huit hommes dans le désert près de Tabas (est).
Du côté de l'US Army, les commandos les plus célèbres sont les Rangers. Ces derniers se sont notamment illustrés au Panama en 1989 pour y déloger le général Manuel Noriega. Ils ont aussi mené des raids éclairs lors de la guerre du Golfe en 1991, n'enregistrant aucune perte. Mais en octobre 1993, 18 membres des Rangers et de la Force Delta (unité antiterroriste) furent tués à Mogadiscio alors qu'ils étaient sur la piste du chef de guerre somalien Mohamed Farah Aïdid. Le 75e régiment des Rangers est basé à Fort Benning (Géorgie).
L'US Army compte également une composante aéroportée: le 160e régiment aérien des opérations spéciales (SOAR), dont les hommes sont surnommés les ''night stalkers'' (chasseurs de la nuit). Basée à Fort Campbell (Kentucky), cette unité utilise des hélicoptères MH-60 Blackhawk et CH-47 Chinook pour transporter les commandos derrière les lignes ennemies. Leur devise est: ''La mort guette dans l'obscurité''.
L'autre pilier de l'Armée de terre est le corps des Special Forces, surnommés les bérets verts. Leur mission principale est ''la reconnaissance spéciale'': infiltrer la zone ennemie par terre ou par air pour y surveiller une région ou un site, mais aussi localiser des cibles à frapper.
Les Forces spéciales doivent pouvoir y rester de façon autonome pendant des jours, des semaines, voire des mois. Elles l'ont notamment fait juste avant la guerre du Golfe.
Les Forces spéciales sont divisées en cinq unités d'active, dont le 5e groupe aéroporté qui s'est entraîné dans le Golfe et au Pakistan ces dernières années. Si des commandos des Forces spéciales sont en Afghanistan, il y a fort à parier que ce soient des hommes du 5e groupe. En août 1992, quatre mois avant l'arrivée des soldats américains en Somalie, ils étaient déjà là.
Enfin, la Force Delta est l'unité antiterroriste de l'Armée de terre. Impliquée dans le fiasco iranien de 1980, elle a essentiellement pour rôle de sauver des otages. Basée à Fort Bragg (Caroline du Nord), ses effectifs -tenus secrets- sont composés de Rangers, des bérets verts et des paras de la célèbre 82e division aéroportée (82nd Airborne), celle qui combattit en Normandie en juin 1944. Ses hommes ont été au Panama et dans le Golfe.
Du côté de l'US Air Force, on recense la 16e brigade aérienne des opérations spéciales. Forte de 7.000 hommes, elle dispose d'AC-130 Spectre (un C-130 transformé en plateforme d'artillerie volante), d'hélicoptères MH-53 Pave Low et et d'avions MC-130 Combat Talon à long rayon d'action permettant une pénétration nocturne à basse altitude pour larguer des parachutistes et du matériel. La devise de cette unité basée à Hurlburt (Floride) est ''N'importe quand, n'importe où''.
En cas d'opération en Afghanistan, l'USAF peut aussi compter sur des hommes du 720e groupe de tactiques spéciales (STG), également basés à Hurlburt. Les commandos sont notamment entraînés à s'emparer d'un aéroport pour y préparer l'arrivée des renforts aériens.
Enfin, l'US Navy dispose des commandos SEALs (SEa, Air, Land -mer air, terre), ces célèbres plongeurs de combat passés maîtres dans l'art des opérations commando sous-marines, mais aussi dans les missions de reconnaissance et de renseignement.
Ismailiya, egypte (ap)
27 / 09
Sujet : Un porte-avions britannique franchit le canal de Suez en route pour le GolfeLe porte-avions britannique HMS Illustrious a franchi lundi le canal de Suez, rejoignant une armada en cours de déploiement dans le Golfe arabo-persique pour des manoeuvres navales avec le sultanat d'Oman. Mais leur présence pourrait également servir dans le cadre d'éventuelles représailles américaines contre les talibans et Oussama Ben Laden en Afghanistan.
Prévues longtemps avant les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, ces manoeuvres devant débuter à la mi-octobre rassembleront quelque 14.000 militaires omanais et 24.000 Britanniques, ainsi que des centaines d'avions et navires à 420km au sud de Mascate. Il s'agit du plus important déploiement de la marine britannique depuis la guerre des Malouines contre l'Argentine en 1982.
Le HMS Illustrious était accompagné d'une escorte composée du sous-marin Trafalgar, du destroyer Nottingham et du navire de soutien Fort Victoria. Au total, 25 bâtiments de la Royal Navy participeront aux manoeuvres. Ce week-end, d'autres bâtiments avaient franchi le canal de Suez, dont le sous-marin HMS Superb et la frégate HMS Cornwall.
Après les attentats de New York et Washington, les Etats-Unis ont ordonné le déploiement de quelque 130 avions et environ 2.000 Marines dans le Golfe. Un groupe aéronaval dirigé par le porte-avions USS Theodore Roosevelt a quitté les Etats-Unis mercredi dernier en direction de la Méditerranée.
27 / 09
Sujet : Un porte-avions britannique franchit le canal de Suez en route pour le GolfeLe porte-avions britannique HMS Illustrious a franchi lundi le canal de Suez, rejoignant une armada en cours de déploiement dans le Golfe arabo-persique pour des manoeuvres navales avec le sultanat d'Oman. Mais leur présence pourrait également servir dans le cadre d'éventuelles représailles américaines contre les talibans et Oussama Ben Laden en Afghanistan.
Prévues longtemps avant les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis, ces manoeuvres devant débuter à la mi-octobre rassembleront quelque 14.000 militaires omanais et 24.000 Britanniques, ainsi que des centaines d'avions et navires à 420km au sud de Mascate. Il s'agit du plus important déploiement de la marine britannique depuis la guerre des Malouines contre l'Argentine en 1982.
Le HMS Illustrious était accompagné d'une escorte composée du sous-marin Trafalgar, du destroyer Nottingham et du navire de soutien Fort Victoria. Au total, 25 bâtiments de la Royal Navy participeront aux manoeuvres. Ce week-end, d'autres bâtiments avaient franchi le canal de Suez, dont le sous-marin HMS Superb et la frégate HMS Cornwall.
Après les attentats de New York et Washington, les Etats-Unis ont ordonné le déploiement de quelque 130 avions et environ 2.000 Marines dans le Golfe. Un groupe aéronaval dirigé par le porte-avions USS Theodore Roosevelt a quitté les Etats-Unis mercredi dernier en direction de la Méditerranée.
Source : le monde
24 / 09
Sujet : Djibouti pourrait servir de base arrière à un déploiement militaireDotés d'infrastructures portuaires et aéroportuaires modernes et adaptées, deux pays d'Afrique de l'Est, le Kenya et Djibouti, pourraient servir de points d'appui logistique au déploiement de forces dans le cadre d'opérations lancées contre l'Afghanistan, voire contre d'autres pays soupçonnés d'abriter des mouvements terroristes dans la région. Selon l'agence Reuters, les Etats-Unis en ont fait la demande. Ces deux pays avaient accueilli une logistique américaine en 1992 et 1993, puis, plus tard, des hélicoptères Apache néerlandais en mission de maintien de la paix.
Le cas de la République de Djibouti a ceci de particulier qu'elle a signé, entre 1977 et 1979, des accords de défense et de coopération militaire avec la France. Ce qui signifie que l'aide française vise la mise sur pied, l'instruction, la logistique et l'équipement des forces armées et de la gendarmerie djiboutiennes. Les effectifs français, si l'on inclut les équipages du groupe naval formé, à l'heure actuelle en océan Indien, de quatre frégates et d'un pétrolier-ravitailleur servant aussi de navire de commandement, atteignent 3 230 hommes. Depuis le 15 septembre, cinq avions de combat Mirage 2000 C ont remplacé les vieux Mirage F1.
A Djibouti, la France a prévu d'installer des matériels - comme elle l'a déjà fait au Sénégal et au Gabon - qui permettront d'équiper un bataillon africain de maintien de la paix susceptible d'intervenir dans l'Est africain, sous les auspices de l'ONU et avec l'approbation de l'Organisation de l'unité africaine (OUA). Les accords signés avec la République de Djibouti stipulent que ce territoire ne peut être utilisé par la France comme base pour une intervention armée contre une tierce puissance, hormis le cas d'une agression dirigée contre le pays. Mais, en la circonstance présente, Djibouti, Etat indépendant depuis 1977, est libre d'accepter de servir de point d'appui - piste et port inclus - à des forces étrangères sans la moindre autorisation de la France.
"Aucune posture particulière" n'a été imposée à la présence militaire française à Djibouti, selon le ministère de la défense, pas plus qu'en d'autres lieux, comme l'Arabie saoudite, où sont aussi stationnés des soldats français.
24 / 09
Sujet : Djibouti pourrait servir de base arrière à un déploiement militaireDotés d'infrastructures portuaires et aéroportuaires modernes et adaptées, deux pays d'Afrique de l'Est, le Kenya et Djibouti, pourraient servir de points d'appui logistique au déploiement de forces dans le cadre d'opérations lancées contre l'Afghanistan, voire contre d'autres pays soupçonnés d'abriter des mouvements terroristes dans la région. Selon l'agence Reuters, les Etats-Unis en ont fait la demande. Ces deux pays avaient accueilli une logistique américaine en 1992 et 1993, puis, plus tard, des hélicoptères Apache néerlandais en mission de maintien de la paix.
Le cas de la République de Djibouti a ceci de particulier qu'elle a signé, entre 1977 et 1979, des accords de défense et de coopération militaire avec la France. Ce qui signifie que l'aide française vise la mise sur pied, l'instruction, la logistique et l'équipement des forces armées et de la gendarmerie djiboutiennes. Les effectifs français, si l'on inclut les équipages du groupe naval formé, à l'heure actuelle en océan Indien, de quatre frégates et d'un pétrolier-ravitailleur servant aussi de navire de commandement, atteignent 3 230 hommes. Depuis le 15 septembre, cinq avions de combat Mirage 2000 C ont remplacé les vieux Mirage F1.
A Djibouti, la France a prévu d'installer des matériels - comme elle l'a déjà fait au Sénégal et au Gabon - qui permettront d'équiper un bataillon africain de maintien de la paix susceptible d'intervenir dans l'Est africain, sous les auspices de l'ONU et avec l'approbation de l'Organisation de l'unité africaine (OUA). Les accords signés avec la République de Djibouti stipulent que ce territoire ne peut être utilisé par la France comme base pour une intervention armée contre une tierce puissance, hormis le cas d'une agression dirigée contre le pays. Mais, en la circonstance présente, Djibouti, Etat indépendant depuis 1977, est libre d'accepter de servir de point d'appui - piste et port inclus - à des forces étrangères sans la moindre autorisation de la France.
"Aucune posture particulière" n'a été imposée à la présence militaire française à Djibouti, selon le ministère de la défense, pas plus qu'en d'autres lieux, comme l'Arabie saoudite, où sont aussi stationnés des soldats français.
Source : le télégramme
24 / 09
Sujet : Manoeuvres du 24 septembre 2001
24 / 09
Sujet : Manoeuvres du 24 septembre 2001
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Quatre
porte-avions
Un total de quatre porte-avions américains sera
bientôt dans la région. (Océan Indien et Méditerranée) Supervision Par ailleurs, 13 bâtiments de guerre britanniques
ont traversé samedi le canal de Suez, en direction du sud, pour,
officiellement, participer à des manœuvres dans le Golfe avec
cinq autres navires de guerre britanniques. |