Actualité Historique Arsenal - Unites - marpomarseille
Marins Pompiers de Marseille
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l'actualité d'une unité. Elle est également destinée
à présenter l'histoire d'une unité : son activité
passée et future, ses anecdotes, des faits marquants.
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Actualité Marins Pompiers de Marseille
Babar
14 / 01 / 2010
Sujet : Les marins-pompiers de Marseille en HaïtiLes marins-pompiers de Marseille en Haïti.
Composé de 15 personnes, 5 médecins, 5 infirmiers, 4 logisticiens, un détachement de marins-pompiers de Marseille va renforcer le dispositif d'aide à la population d'Haïti suite au tremblement de terre du mercredi 13 janvier 2010.
14 / 01 / 2010
Sujet : Les marins-pompiers de Marseille en HaïtiLes marins-pompiers de Marseille en Haïti.
Composé de 15 personnes, 5 médecins, 5 infirmiers, 4 logisticiens, un détachement de marins-pompiers de Marseille va renforcer le dispositif d'aide à la population d'Haïti suite au tremblement de terre du mercredi 13 janvier 2010.
30 / 07 / 2006
Sujet : La réserve opérationnelle du BMP Marseille
Depuis 1995, le bataillon de marins pompiers (BMP) de Marseille dispose d'une réserve opérationnelle composée de 85 personnels.
Le CF(R) Daniel Maurice (chef du bureau "Emploi des reserves") est secondé par le MJR(R) Robert Maligue.
Les réservistes renforcent les effectifs du bataillon durant 1ou 2 périodes de 2 semaines, pendant la campagne feux de forêt, de la mi juin à la mi septembre.
Une dizaine d'officiers et d'officiers mariniers supérieurs occupent des postes au PC opérations de l'Etat-major, 24 officiers mariniers assurrent par équipes de 2 journellement, une veille feux de foret, radio et vidéo au PC Ops. Le reste du personnel arme les engins feux de forêt et de secours urbains dans les 5 secteurs opérationnels de la ville de Marseille, aux postes les mieux adaptés à leurs qualifications et expériences professionnelles.
Ces garçons, dont la moyenne d'age se situe autour de la trentaine sont pratiquement tous des anciens du BMP, souvent devenus sapeurs pompiers volontaires ou professionnels . Leurs comportement est exemplaire tout comme leur attachement à cette unité d'élite qu'ils continuent de servir dans la réserve avec courage et dévouement.
CF(R) Daniel Maurice
Alabordache
23 / 07 / 2005
Sujet : Les Marins pompiers de Marseille en intervention après l'effondrement d'un immeuble à Marseille.
Un immeuble de trois niveaux, abritant un magasin de vêtements au rez-de-chaussée, s'est effondré samedi peu avant 18h dans une des rues les plus commerçantes de Marseille en pleine période de soldes, faisant un mort et sept blessés, selon les marins-pompiers de la ville.
L'immeuble effondré était situé au 96 rue de Rome, non loin du bâtiment de la préfecture et à 500 mètres environ de la Cannebière. Une portion de cette artère importante a été barrée à la circulation. Le magasin Mim, spécialisé dans les vêtements pour jeunes, qui se trouvait au rez-de-chaussée, avait une surface au sol d'environ 50 mètres carrés, selon les pompiers.
Le corps de la victime décédée, une femme d'une vingtaine d'années, n'avait toujours pas été dégagé des décombres en début de soirée, a précisé sur place à l'Associated Press le capitaine de frégate Bernard Muscat, des marins-pompiers de Marseille. Les sept blessés ont été conduits vers l'hôpital de la Conception. La gravité de leurs blessures n'a pas été précisée. Outre ces sept blessés, quatre personnes se trouvaient en état de choc.
On ignorait dans l'immédiat si d'autres victimes se trouvaient sous les décombres. Au moment de l'accident, trois vendeuses et un nombre indéterminé de clients se trouvaient dans le magasin, mais les appartements situés dans les deux étages supérieurs étaient inoccupés, selon ce responsable des pompiers.
Près de 90 marins-pompiers (Marine nationale), appuyés par une trentaine d'engins divers, dont un camion-grue, ont été dépêchés sur place ainsi que deux équipes cynophiles. Les opérations de déblaiement devaient durer longtemps et se prolonger dans la nuit, selon le capitaine de frégate Muscat.
La cause de l'effondrement n'était pas connue. Selon la préfecture, la toiture de cet immeuble ancien s'est écroulée, entraînant l'affaissement des planchers des étages inférieurs.
23 / 07 / 2005
Sujet : Les Marins pompiers de Marseille en intervention après l'effondrement d'un immeuble à Marseille.
Un immeuble de trois niveaux, abritant un magasin de vêtements au rez-de-chaussée, s'est effondré samedi peu avant 18h dans une des rues les plus commerçantes de Marseille en pleine période de soldes, faisant un mort et sept blessés, selon les marins-pompiers de la ville.
L'immeuble effondré était situé au 96 rue de Rome, non loin du bâtiment de la préfecture et à 500 mètres environ de la Cannebière. Une portion de cette artère importante a été barrée à la circulation. Le magasin Mim, spécialisé dans les vêtements pour jeunes, qui se trouvait au rez-de-chaussée, avait une surface au sol d'environ 50 mètres carrés, selon les pompiers.
Le corps de la victime décédée, une femme d'une vingtaine d'années, n'avait toujours pas été dégagé des décombres en début de soirée, a précisé sur place à l'Associated Press le capitaine de frégate Bernard Muscat, des marins-pompiers de Marseille. Les sept blessés ont été conduits vers l'hôpital de la Conception. La gravité de leurs blessures n'a pas été précisée. Outre ces sept blessés, quatre personnes se trouvaient en état de choc.
On ignorait dans l'immédiat si d'autres victimes se trouvaient sous les décombres. Au moment de l'accident, trois vendeuses et un nombre indéterminé de clients se trouvaient dans le magasin, mais les appartements situés dans les deux étages supérieurs étaient inoccupés, selon ce responsable des pompiers.
Près de 90 marins-pompiers (Marine nationale), appuyés par une trentaine d'engins divers, dont un camion-grue, ont été dépêchés sur place ainsi que deux équipes cynophiles. Les opérations de déblaiement devaient durer longtemps et se prolonger dans la nuit, selon le capitaine de frégate Muscat.
La cause de l'effondrement n'était pas connue. Selon la préfecture, la toiture de cet immeuble ancien s'est écroulée, entraînant l'affaissement des planchers des étages inférieurs.
Le figaro
22 / 07 / 2005
Sujet : Les Marins pompiers de MarseilleChristophe Maurin, capitaine de frégate au bataillon des marins-pompiers de Marseille et chef des opérations dans la lutte anti-incendie, est l'un des deux responsables des deux villes les plus sensibles au feu de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur. « Marseille représente 75 kilomètres d'interface périurbaine, c'est-à-dire d'espaces boisés qui entrent dans les zones pavillonnaires, 14 000 hectares de couvert végétal et un dénivelé de 700 mètres, ce qui rend très compliquée la lutte contre les incendies, explique Christophe Maurin. Sans oublier de nombreuses lignes à haute tension et les célèbres calanques, très fréquentées l'été, et qui ne facilitent pas notre tâche.»
Pour se défendre contre la malchance, les gestes criminels ou les fous, Marseille dispose de 60 véhicules à capacité hors route et de deux hélicoptères bombardiers d'eau, qui sont loués 250 000 euros pour les trois mois les plus chauds de l'année.
Mais cette agglomération de 25 000 hectares particulièrement sensibles et de 1,26 million d'habitants dispose aussi de moyens nationaux : des Canadair, un avion Dash porteur de 10 tonnes de produit retardant et des Tracker, avions plus petits pouvant larguer 3 tonnes de produit retardant.
Les marins-pompiers de Marseille font partie de la Royale. Créé par un décret-loi de 1939 après le terrible incendie des Nouvelles Galeries sur la Canebière qui fit plus de 70 morts, le bataillon compte aujourd'hui 2 400 hommes et femmes, dont 1 850 pompiers présents sur le théâtre des opérations.
Tous ont en mémoire le terrible incendie de 1989, qui a ravagé la Sainte-Victoire chère à Cézanne, celui de 1979, qui a coûté la vie à deux soldats du feu, celui de 1990, qui a réduit en fumée 3 400 hectares de calanques et, enfin, celui de 1997, qui a brûlé 3 700 hectares de la chaîne de l'Etoile.
Depuis cinq ans, les feux sont plus agressifs. Des mesures ont été prises et des résultats obtenus. Tout d'abord une surveillance accrue des pompiers motards, des vigies, ainsi que le prépositionnement des engins sur des zones sensibles. Le débroussaillage à 50 mètres autour des maisons, devenu obligatoire, a limité les drames humains et les pertes matérielles.
Enfin, la priorité a été donnée aux feux naissants et à la dissuasion des pyromanes potentiels. Celle-ci passe en particulier, cela ne s'invente pas, par la sensibilisation des quartiers où certains imbéciles en mal de sensations fortes n'hésitaient pas, il y a peu de temps encore, à allumer des feux dans le seul but de faire venir une armée de pompiers et leurs hélicoptères, donnant le plus captivant des spectacles.
22 / 07 / 2005
Sujet : Les Marins pompiers de MarseilleChristophe Maurin, capitaine de frégate au bataillon des marins-pompiers de Marseille et chef des opérations dans la lutte anti-incendie, est l'un des deux responsables des deux villes les plus sensibles au feu de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur. « Marseille représente 75 kilomètres d'interface périurbaine, c'est-à-dire d'espaces boisés qui entrent dans les zones pavillonnaires, 14 000 hectares de couvert végétal et un dénivelé de 700 mètres, ce qui rend très compliquée la lutte contre les incendies, explique Christophe Maurin. Sans oublier de nombreuses lignes à haute tension et les célèbres calanques, très fréquentées l'été, et qui ne facilitent pas notre tâche.»
Pour se défendre contre la malchance, les gestes criminels ou les fous, Marseille dispose de 60 véhicules à capacité hors route et de deux hélicoptères bombardiers d'eau, qui sont loués 250 000 euros pour les trois mois les plus chauds de l'année.
Mais cette agglomération de 25 000 hectares particulièrement sensibles et de 1,26 million d'habitants dispose aussi de moyens nationaux : des Canadair, un avion Dash porteur de 10 tonnes de produit retardant et des Tracker, avions plus petits pouvant larguer 3 tonnes de produit retardant.
Les marins-pompiers de Marseille font partie de la Royale. Créé par un décret-loi de 1939 après le terrible incendie des Nouvelles Galeries sur la Canebière qui fit plus de 70 morts, le bataillon compte aujourd'hui 2 400 hommes et femmes, dont 1 850 pompiers présents sur le théâtre des opérations.
Tous ont en mémoire le terrible incendie de 1989, qui a ravagé la Sainte-Victoire chère à Cézanne, celui de 1979, qui a coûté la vie à deux soldats du feu, celui de 1990, qui a réduit en fumée 3 400 hectares de calanques et, enfin, celui de 1997, qui a brûlé 3 700 hectares de la chaîne de l'Etoile.
Depuis cinq ans, les feux sont plus agressifs. Des mesures ont été prises et des résultats obtenus. Tout d'abord une surveillance accrue des pompiers motards, des vigies, ainsi que le prépositionnement des engins sur des zones sensibles. Le débroussaillage à 50 mètres autour des maisons, devenu obligatoire, a limité les drames humains et les pertes matérielles.
Enfin, la priorité a été donnée aux feux naissants et à la dissuasion des pyromanes potentiels. Celle-ci passe en particulier, cela ne s'invente pas, par la sensibilisation des quartiers où certains imbéciles en mal de sensations fortes n'hésitaient pas, il y a peu de temps encore, à allumer des feux dans le seul but de faire venir une armée de pompiers et leurs hélicoptères, donnant le plus captivant des spectacles.
Alabordache
15 / 07 / 2005
Sujet : Marseille: incidents dans une cité après le feu d'artificeDe violents incidents ont éclaté dans la cité Air Bel dans les quartiers nord de Marseille jeudi après 22h30 et le feu d'artifice. Les marins-pompiers, appelés sur place pour une voiture incendiée, ont été pris à partie par une bande qui les a bombardés de pierres, de bouteilles et de bout de bois, indique la préfecture des Bouches-du-Rhône.
Les marins-pompiers se sont protégés dans leur camion en attendant l'arrivée de la police. Des policiers en civil et une demi compagnie de CRS, 60 fonctionnaires en tout, sont intervenus pour rétablir l'ordre.
Trois cents mètres carrés de broussailles et quatre containeurs de poubelles ont été brûlés et de nombreux pare-brise ont été brisés. Il n'y a eu aucun blessé.
La police a interpellé une personne qui a été placée en garde à vue.
15 / 07 / 2005
Sujet : Marseille: incidents dans une cité après le feu d'artificeDe violents incidents ont éclaté dans la cité Air Bel dans les quartiers nord de Marseille jeudi après 22h30 et le feu d'artifice. Les marins-pompiers, appelés sur place pour une voiture incendiée, ont été pris à partie par une bande qui les a bombardés de pierres, de bouteilles et de bout de bois, indique la préfecture des Bouches-du-Rhône.
Les marins-pompiers se sont protégés dans leur camion en attendant l'arrivée de la police. Des policiers en civil et une demi compagnie de CRS, 60 fonctionnaires en tout, sont intervenus pour rétablir l'ordre.
Trois cents mètres carrés de broussailles et quatre containeurs de poubelles ont été brûlés et de nombreux pare-brise ont été brisés. Il n'y a eu aucun blessé.
La police a interpellé une personne qui a été placée en garde à vue.