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Actualité Bâtiment de Soutien Loire
Alabordache 07 / 03 / 2005 Sujet : L'Inde, France commencent des exercices navals communs Les Marines de l'Inde et de la France ont commencé dimanche un exercice annuel, le plus en retard dans une série d'exercices bilatéraux militaires, devant le port de Cochin.
Varuna 2005/1 est un exercice qui s'étend jusqu'au 7 mars et consiste à mettre en oeuvre des mesures pour parer des mines, dans le contexte évident de la menace mines dans le golfe Persique.
"les développements récents dans le golfe Persique ont démontré la facilité relative avec laquelle la guerre de mine peut être faite en mer et par conséquent la menace qu'il constitue à l'expédition marchande," a déclaré le commandant Vinay Garg, le porte-parole indien de marine.
"Varuna 2005/1 est le premier exercice de guerre de mine étant conduit entre la marine française et indienne. Des mesures de comptage de mine et des exercices avancés de plongée seront pratiqués pendant cette interaction."
Les éléments de la marine française qui composent le groupe sont deux bateaux de chasse aux mines - CMT Orion et CMT Aigle -- avec le bateau de commandement de la guerre des mines le BSM LOIRE.
La composante qui assure le comptage des mines (elle embarque l'Institut central des statistiques) est composée du Kozhikode, du Cannanore et du Cuddalore de la marine indienne. L'exercice inclura également le déploiement des équipes de neutralisation d'explosifs sous-marines composées de plongeurs des deux marines.
La phase au port de l'exercice inclut des discussions de formation et de tactique entre les marines française et indienne. Le personnel français visitera les établissements de la formation de la marine indienne à Cochin.
Les équipages des bateaux invités participeront également à des tournois sportifs et des activités culturelles.
La série d'exercices Varuna présente un moyen pour les deux marines de travailler ensembles et de s'accorder professionellement dans diverses sphères de la guerre maritime. Douze exercices ont été conduits depuis 1998.
Le dernier exercice a été tenu dans les eaux au large de Goa en avril 2004 et concentré sur la guerre anti-aérienne et la guerre anti-sous-marine.
"la série de Varuna s'est développée dans la portée et la complexité au cours des années et a contribué à des relations plus étroites, l'arrangement et la bonne volonté mutuelle entre les deux marines," a indiqué Garg.
L'Inde et la France ont eu des relations étroites de collaboration de défense pendant des décennies. La marine indienne est bien placée pour clôturer une affaire avec une entreprise française pour acquérir la technologie pour construire les sous-marins de type Scorpene.
Alabordache 06 / 03 / 2005 Sujet : L’inde et la France en exercice anti-minesL’inde et la France en exercice anti-mines
L'Inde et la France ont commencé leurs premières opérations anti-mines en commun dans le cadre d’exercices navals en mer Arabe près de la côte de l'Inde méridionale. L'exercice de neuf jours, appelé 'Varuna 2005 'a commencé le dimanche 27 février 2005. Le chef de la force navale française, le capitaine de vaisseau Maréchal, a expliqué aux journalistes qu c’est la première fois que les deux Marines participent ensembles « à des exercices de guerre de mine. » Maréchal a précisé que les exercices Varuna ont commencé en 1998, dans le cadre de la coopération navale bilatérale entre l'Inde et la France. L'année dernière, les exercices près de la côte de l'état de Goa se sont concentrés sur la guerre anti-surface et anti-sous-marine. La flottille française est composée de deux chasseurs de mines « Orion » et « Aigle », auxquels il faut ajouter les bâtiments de commandement et de soutien de la Force de guerre des mines, la « Loire ». Trois chasseurs de mines, le « Kozhikode », le « Cannanore » et le « Cuddalore », représentent la marine indienne. Environ 250 marins indiens et plus de 300 marins français, y compris quatre femmes, participent à l'exercice. La marine française est venue ici avec le dernier équipement de guerre des mines. « Nous devons voir les progrès que cela occasionne au cours de l'exercice bilatéral » a dit le capitaine de vaisseau Jaiswal, responsable de l'école de guerre anti-sous-marine d'Inde. « Ils vont nous montrer l'équipement que nous n'avons pas, comme le PAP (poisson autopropulsé), les lasers et le dernier sonar » ont-ils ajoutés.
La « Loire » a quitté le port du Ponant le 29 septembre dernier. Soixante jours plus tard, l'ordre est donné de poursuivre la mission jusqu'au 20 février, mois au cours duquel les marins doivent se faire à l'idée d'une longue absence. Le retour est fixé au 6 mai.
Celui qui a fait
la plus longue mission
« Ce n'est pas pour le marin que les missions sont longues mais pour sa famille. Tant qu'à la maison tout le monde tient, le moral reste au beau fixe », commente un officier du bord.
Heureusement, aujourd'hui, même sur un bateau qui accuse 35 ans, les moyens modernes permettent, chaque jour, de communiquer. Internet, mais aussi un système de cartes téléphoniques avec lesquelles, les hommes peuvent appeler au prix d'un appel local.
Reste qu'au retour, les plus jeunes enfants ne reconnaissent plus leur papa voyageur. Des pères qui, en partant, avaient embrassé un bébé de trois mois et qui, aujourd'hui, voient un bambin gambadeur les regarder avec surprise. À petits pas, ils se retrouvent.
Un soutien aux opérations de guerre de mines
Le bâtiment de commandement et de soutien « Loire » aura fait la plus longue mission du déploiement Héraclès. « Tandis que les chasseurs de mines se succèdent, le navire atelier se relève par lui même », constate le commandant, capitaine de vaisseau Meyer.
Le navire qui sert de soutien aux chasseurs de mines est là pour assurer l'entretien et la réparation des équipements et accueille un état major pour les opérations extérieures de guerre des mines.
En Océan Indien, le travail des équipages a permis de recenser les différents types de fonds et de reconnaître les échos présents dans la zone (lire ci-contre). « Dorénavant, c'est donc une zone que nous connaissons et si nous devions y retourner il n'y aurait plus qu'à repérer les nouveaux échos », souligne le commandant de la « Loire ».
Sur le navire de soutien, chaque atelier à ses spécialistes en mécanique générale, en chaudronnerie, en menuiserie, en matières plastique, en électricité, en technique du froid, en électronique ou même en couture. Les travaux se font directement à bord où sur le bâtiment qui a besoin d'une réparation. La « Loire » est aussi un magasin où sont répertoriés plus de 15.000 articles.
Le navire armé assure également le ravitaillement des autres bâtiments en gazole, en eau ou en huile mais aussi en pain frais, pétri par le boulanger du bord. Enfin, la « Loire » dispose d'un hôpital de 14 lits, d'un bloc opératoire et d'un cabinet dentaire. Un caisson hyperbare permet de porter assistance aux plongeurs démineurs en cas d'accident.
Enfin, Brest à l'horizon
Tout est prêt pour la manĹ“uvre. La vigie du Portzic se dessine à bâbord.
Au loin, les grues du port de commerce saluent le retour des 147 hommes de la « Loire ».
Source : var matin 17 / 01 / 2002 Sujet : Soutien logistique Ă DubaiLe sous-marin nucléaire d'attaque « Rubis », la frégate anti-sous-marine « La Motte-Picquet », le pétrolier ravitailleur « Meuse », les chasseurs de mines « Persée » et « Pégase », accompagnés de leur bâtiment de soutien « Loire », étaient à quai à Dubai les uns derrière les autres. Quant au bâtiment de commandement ravitailleur Var et au bâtiment de renseignements « Bougainville », tous deux sont actuellement en cale sèche pour une période d'entretien prévue de longue date.