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Actualité Historique Desarme - Amphibie - foudre
Transport de Chalands de DĂ©barquement Foudre :
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Actualité Transport de Chalands de DĂ©barquement Foudre :
Http://www.meretmarine.com
10 / 12 / 2008
Sujet : CĂ´te d'Ivoire : La Foudre s'entraine avec la force Licorne


La Force Licorne et le Bâtiment de transport de chalands de débarquement Foudre, déployé dans le golfe de Guinée dans le cadre de la mission Corymbe, ont effectué un exercice conjoint.

Les manoeuvres ont été réalisées le long des côtes abidjanaises et au champ de tir de Grand Bassam. Baptisé « Naja », cet exercice s'est déroulé en trois étapes. Dans un premier temps, un PC réduit et des éléments du GTIA Licorne (marsouins et sapeurs de marine) se sont déployés à bord du TCD pour « jouer » la phase amont de l'exercice : mise en condition opérationnelle (préparation, rédaction des ordres), vie à bord ... Ensuite, commandée depuis les airs par un PC héliporté, la section a été projetée sur le continent par chalands de débarquement et par hélicoptères. Une fois l'objectif « traité », la section a été exfiltrée par la lagune au moyen d'embarcations rapides.

Selon l'Etat-major des Armées, la finalité de cet exercice interarmées est d'entraîner les unités à effectuer des missions de précision après une infiltration à partir de moyens maritimes, lagunaires et aéromobiles. « Il a permis aux différents échelons de commandement de travailler les coordinations interarmes et interarmées avec le TCD, les hélicoptères de l'Aviation Légère de l'Armée de Terre (ALAT) et les troupes au sol.

La force Licorne compte environ 1800 militaires. Sur le terrain, son dispositif est constitué d'un état-major interarmées, d'un groupement tactique interarmes (GTIA) et d'une base de soutien interarmées, complété par un escadron de gendarmes mobiles.

Alabordache
09 / 09 / 2006
Sujet : La Foudre retourne au Liban
Un détachement précurseur d'une centaine de militaire français est arrivé samedi dans le port de Beyrouth à bord du transport de chaland de débarquement "Foudre".
Le navire amphibie de la Marine française, qui était parti lundi de Toulon (Var), a accosté dans le port libanais vers 8h30. La centaine de logisticiens a commencé à débarquer aussitôt, a-t-on constaté sur place. Ils doivent ensuite prendre le chemin du Liban-Sud.
Le "Foudre" transporte également des véhicules blindés de transport de troupes, des camions, de l'armement et des équipements pour les forces françaises.
Ces éléments précurseurs français sont composés de spécialistes de la logistique venant principalement du 121e Régiment du train de Montlhéry (Essonne). Leur mission est d'organiser l'accueil et l'installation du premier bataillon français de renforcement de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), qui comptera 900 hommes et doit être déployé sur le théâtre libanais avant le 15 septembre. Il s'agit de missions de soutien, de transmission et d'aide au mouvement routier.
Selon l'état-major français, avant l'arrivée de ces hommes, il y avait "environ 400 militaires français" au sein de la FINUL, dont 200 sapeurs débarqués le 19 août à Naqoura au titre du "renforcement urgent" de la force onusienne.
Vendredi, une force navale conjointe composée de bâtiments français, italiens et grecs a commencé à patrouiller le long des côtes libanaises pour une mission temporaire de deux mois avant qu'une force de vaisseaux allemands prennent le relais à plus long terme.
Alabordache
03 / 09 / 2006
Sujet : Appareillage de la foudre vers le Liban


Le bâtiment de transport "Foudre" de la Marine nationale appareillera lundi 4 septembre 2006 à 08h00 de Toulon, avec 200 militaires de l'armée de terre à bord, premiers éléments d'un bataillon de 900 hommes attendu au Liban sud avant le 15 septembre 2006.

Les 200 soldats supplémentaires qui sont arrivés à Toulon samedi soir, sont issus du Régiment de marche du Tchad (Noyon, Oise), du 6e-12e Régiment de cuirassiers (Olivet, Loiret), du 1er Régiment d'artillerie de marine (Laon-Couvron, Aisne), du 1er Régiment d'artillerie (Bourogne, Territoire-de-Belfort), du 57e Régiment d'artillerie (Bitche, Moselle) et du 121e Régiment du train (Montlhéry, Essonne).

130 véhicules vont également être chargés à bord du bâtiment, notamment des camions, des P4 (petites jeep) et des véhicules amphibie blindés (VAB) ainsi que des conteneurs remplis de munitions notamment.

La France doit déployer au total 2.000 soldats au sein de la Finul dont elle assurera le commandement jusqu'en février 2007. A cette date, elle passera le relais à l'Italie, qui prévoit, elle, de déployer 2.450 soldats.

La "Finul II" est censée consolider le cessez-le-feu entré en vigueur le 14 août après une guerre de 34 jours qui a fait près de 1.300 tués au Liban, en grande majorité des civils, et des milliards de dollars de dégâts.

La force internationale doit épauler l'armée libanaise de retour au Liban sud - un fief du Hezbollah - après quasiment 40 ans d'absence. Les Casques bleus n'auront toutefois pas pour tâche de désarmer le milice chiite dont la résolution 1701 prévoit le désarmement.

L'Iran, qui est avec la Syrie le principal appui du Hezbollah, a exprimé dimanche son "complet soutien" à la résolution 1701, a affirmé Kofi Annan.
Le figaro
26 / 08 / 2006
Sujet : Arrivée des troupes françaises au Liban
L’Amiral Magne débarque d’un bond de son Zodiac, accompagné de son officier de presse. En tenue de combat, sorte de combinaison bleue garnie de bandes réfléchissantes, les deux hommes remontent le quai ensoleillé à la rencontre des officiers des Nations unies qui les attendent sur le petit port de Naqoura.

« Ce n’est qu’une opération de « plageage » », déclare l’amiral Xavier Magne, l’air détendu. Nous mettons à terre une compagnie de génie et 1 800 tonnes de matériels. » Des plongeurs viennent de terminer la reconnaissance des fonds de la petite rade. Des barges sont sorties des portes arrière du transport de chalands de débarquement, et approchent de la côte, le pavillon tricolore flottant au vent. Des hélicoptères font la navette entre les navires.

L’opération de débarquement des renforts français de la Finul commence. Cinq grands bateaux gris sont mouillés devant les falaises de craie blanche du cap Biyada, à quelques miles de la côte et à quelques kilomètres à peine de la frontière israélienne. L’amiral Magne, commandant la force « Baliste », qui a déjà évacué plus de 12 000 ressortissants du Liban, est cette fois chargé de l’acheminement des renforts de la Finul au Liban-Sud. Presque toutes les capacités amphibies de la Marine nationale ont été déployées. Escortés par les frégates Montcalm et Cassard, deux grands transports de chalands de débarquement, la Foudre et le Sirocco, et le Mistral, tout nouveau bâtiment de projection et de commandement, participent à la mise à terre de 170 soldats du 13e régiment de génie et du 2e régiment étranger de génie.

L’opération se déroule comme à l’exercice. La première barge débarque un bulldozer qui aplanit la petite plage avant de dérouler un tapis métallique sur le sable humide pour les véhicules. Des soldats transportent des sacs de courrier. Les autres chalands se succèdent devant la plage, baissent leur rampe avant, et débarquent les véhicules, camions, blindés de déminage et même une grue, sur lesquels on a juste eu le temps de coller le sigle des Nations unies en lettres adhésives blanches, avant de battre machine arrière avec un coup de klaxon rauque. Les soldats ont embarqué lundi à Toulon, et viennent de passer quatre jours en mer.

L’ambiance n’est pas celle d’Omaha Beach. Les télévisions font leurs plateaux en direct devant le quai. Les officiers discutent sous le soleil estival. Et des Casques bleus chinois en baskets camouflées ou indiens en turban bleu ciel sont venus assister au spectacle avec leurs appareils photo.
Alabordache
20 / 08 / 2006
Sujet : Les renforts français de la Finul ont quitté Toulon
Un détachement de 150 soldats a quitté le port de Toulon ce dimanche 20 août 2006 à bord du Navire de Transport de Chaland de Débarquement (TCD) Foudre de la Marine nationale pour rejoindre l'avant-garde française de la Finul (Force intérimaire des Nations Unies au Liban) renforcée au Sud-Liban.

Ces hommes du 13e régiment du Génie de Valdahon (Doubs) seront en vue des côtes libanaises jeudi ou vendredi pour une mission d'une durée encore indéterminée qui pourrait se prolonger au-delà de deux mois.

Ils auront pour mission d'appuyer et de faciliter la mobilité de la Finul et des forces armées libanaises dans leur redéploiement au Sud-Liban, a précisé le colonel Christophe Issac, commandant du régiment.

Ils seront épaulés sur le théâtre des opérations, entre le fleuve Litani et la frontière israélienne, par une section de 50 hommes du Génie déjà présente sur place.

Une fois à pied d'oeuvre, le détachement parti dimanche de Toulon sera capable "de remettre en état les routes principales dans les zones défoncées par les bombardements", a souligné le colonel Issac.

Arrivés du Doubs, plus de 100 véhicules et engins ont été embarqués dans le temps record de deux jours sur le TCD Foudre. Parmi eux, dix VAB (véhicules de l'avant blindé), huit bulldozers, six bennes, deux ateliers de campagne d'aide au déploiement, deux centrales d'énergie, deux unités mobiles de traitement d'eau et une grue de grande puissance.
Eburneanews
14 / 01 / 2005
Sujet : Un navire espion au large d’Abidjan Tout sur ses activités
Un bâtiment qui, selon une source proche des autorités portuaires, se situerait à 12 miles au sud de la bouée d’atterrissage le mercredi 05 janvier 2005 à 07h 45 mn . Les agissements de ce navire sont, si l’on s’en tient à la même source, curieux . En effet , il demande à tous les navires sortant ou entrant dans le canal de Vridi , des informations de type à faire croire à la préparation d’une opération militaire de grande envergure . Il s’informait sur le nom du navire , le pavillon , l’indicatif radio, le numéro Omi ( Organisation maritime internationale ), la provenance , la destination , la nature de cargaison , le nom du Comandant , la nationalité du Commandant, la route et la vitesse du navire . Il est à noter que toutes ces communications, qui se font dans la langue anglaise, sont interceptées par des services de sécurité du port d’Abidjan, qui ont demandé au bâtiment de s’identifier . Mais celui-ci n’aurait pas répondu et aurait fait route vers le sud-ouest . Ce sont au total cinq (5) navires qui ont déjà subi les interrogatoires du fameux navire : Maersk Winner , Luche Gorsk , Al Mudaina , Msc Cameroon et Vanino . La présence de ce navire espion au large de la capitale économique ivoirienne, est loin de ramener la sérénité dans le milieu portuaire . Selon une note confidentielle adressée à la hiérarchie militaire ivoirienne par des autorités portuaires, il est question de prendre des mesures pour empêcher l’étranglement du port d’Abidjan : “ Nous vous prions de prendre toutes les dispositions idoines pour connaître l’identité de ce navire et faire cesser ses agissements ”. “ Fameux ” bâtiment L’identité de ce “ fameux ” bâtiment qui “ porte gravement préjudice aux activités économique du Port d’Abidjan (Paa) ” est à rechercher . Ce navire serait français selon une source, qui a requis l’anonymat .Suite aux derniers événements de novembre 2004 qui ont secoué le pays , les autorités françaises avaient renforcé leur dispositif militaire et fait parvenir des unités dépêchées de France , du Gabon et du Sénégal, soutenant que le retour au calme est “ loin d’être complet à Abidjan ” . A cette période, les militaires français de la force Licorne contrôlaient les deux ponts d’Abidjan et l’aéroport Félix Houphouet Boigny . “ On est dans une phase de retour au calme qui est loin d’être complet et il n’est donc pas prévu de modification dans le dispositif ” selon le colonel Gérard Dubois , de l’état-major des armées lors d’un point de presse hebdomadaire du ministère de la défense . Le 10 novembre 2004, deux bâtiments de la marine nationale française le transport de chalands et de débarquement Foudre et la frégate La Fayette avec 400 hommes à bord , le Tcd ( Transport de chalands et de débarquement ) Foudre transportant 200 hommes , 50 véhicules blindés et une demi-douzaine d’hélicoptères ont débarqué au port d’Abidjan . Pour l’heure , la présence de ce “ navire invisible ” est interprétée comme une stratégie pour asphyxier l’Economie ivoirienne . La façade maritime ivoirienne avec son port joue un rôle important dans les échanges maritimes dans la sous région ouest africaine . Affecté par les effets de la crise déclenchée le 19 septembre 2002 , il a perdu beaucoup de ses échanges avec les pays sans littoral ( Burkina , Mali ) et reste marqué par les derniers événements survenus en novembre 2004. Le pouvoir ivoirien qui compte sur les recettes douanières de ce port aux infrastructures de pointe pour faire face à certaines dépenses alors que l’Economie est exsangue, prend très au sérieux cette autre “ occupation ” des voies maritimes, qui aurait pour objectif de détourner des bateaux vers les autres ports de seconde zone de la sous région, qui tirent profit de la crise ivoirienne .
Source : ap
20 / 12 / 2002
Sujet : Le bâtiment "La Foudre" en partance pour la Côte d'Ivoire
Plusieurs centaines de militaires français et divers matériels, dont des hélicoptères et véhicules blindés, embarquaient mercredi à bord du Transports de chalands débarquement (TCD) "La Foudre", qui devait quitter Toulon (Var) en fin de soirée pour Abdijan en Côte d'Ivoire, a-t-on constaté sur place.

"Plusieurs centaines d'hommes", selon la Force d'action navale et les représentants de l'armée de terre, qui se refusent à communiquer le chiffre exact de ces renforts, doivent rejoindre et compléter le dispositif militaire français déjà présent en Côte d'Ivoire. Depuis le début de journée, ils procédaient à l'embarquement des matériels à bord de "La Foudre", à quai au sein de l'arsenal militaire de Toulon.

Ces hommes du 8e régiment parachutiste d'Infanterie de Marine de Castres, du 2e régiment de Dragons de Fontevraud et du 35e régiment d'artillerie parachutiste de Tarbes devaient prendre la mer en fin de soirée. Il s'agit de la deuxième partie du contingent de troupes envoyé en renfort vers la Côte d'Ivoire, après le départ, samedi, de 150 hommes du 2e régiment étranger de parachutistes de Calvi.

Selon certaines informations, ce dispositif de renfort pourrait s'élever à 500 hommes. Déjà, plus d'un millier de militaires français se trouvent en Côte d'Ivoire, dans le cadre de la force "Licorne" commandée par le général Emmanuel Beth. Le TCD "La Foudre", après "environ dix jours de transit" selon son commandant, le capitaine de vaisseau Christian Canova, atteindra la côte ivoirienne et débarquera les troupes à Abdijan, puis restera stationné dans le Golfe de Guinée. Si la situation l'exigeait, il pourrait alors contribuer à l'évacuation des populations en complément de "L'Orage", déjà sur zone.

Trois mois après le coup d'Etat manqué du 19 septembre contre le président Laurent Gbagbo, la situation semble dans l'impasse en Côte d'Ivoire. La France, qui tente d'enrayer la guerre civile, a décidé de renforcer sa présence dans la région. En plus des troupes, deux hélicoptères Puma et trois Gazelle des 1er et 3e régiments d'hélicoptères de combat d'Etain et Phalsbourg, ainsi que des véhicules de l'avant blindé, des blindés légers et des mortiers, sont embarqués à bord de La Foudre.

Les représentants de l'armée de terre et ceux de la Marine n'ont pas souhaité mercredi préciser où ces forces seraient déployées.
Source : ap
20 / 12 / 2002
Sujet : La France comptera bientĂ´t entre 2.300 et 2.500 soldats en CĂ´te d'Ivoire
Une fois le renforcement du dispositif achevé, ce sont au total "entre 2.300 et 2.500" soldats français qui participeront en Côte d'Ivoire, "avant la fin du mois", à la mission "Licorne" visant à assurer la protection des ressortissants français et étrangers et la sécurisation du cessez-le-feu.

Le porte-parole du ministère de la Défense l'a confirmé mercredi, à quelques heures du départ d'un bâtiment de la Marine nationale vers Abidjan, en rappelant que la solution à la crise ivoirienne ne pouvait être que "politique".

Les chiffres sur les forces françaises présentes en Côte d'Ivoire "évoluent en permanence" et les variations sont liées "au soutien, en général à partir des autres unités déployées en Afrique, pas forcément à partir de métropole", a expliqué Jean-François Bureau lors d'une conférence de presse au Quai d'Orsay. Selon lui, ces chiffres incluent les quelque 600 personnels du bataillon d'infanterie de marine présents en permanence à Port-Bouet, près d'Abidjan.

La mission, placée sous le commandement du général Emmanuel Beth, "est dévolue à nos forces, sous l'objectif de favoriser la mise en place, qui reste subordonnée à un accord politique, d'une force africaine", a-t-il ajouté.

Après le départ d'un "premier échelon" d'environ 160 personnels samedi par avion vers Abdijan, un bâtiment de la Marine nationale, le Transport de chaland de débarquement "Foudre", devait partir mercredi de Toulon avec son bord environ 300 militaires et du matériel. Après l'arrivée du bâtiment, probablement "à la fin de la semaine prochaine", "c'est l'ensemble du dispositif arrêté par les autorités françaises, à l'appui de la solution politique, qui sera déployé".

Les forces françaises sont principalement présentes à Port-Bouet, Yamoussoukro et Daloa, mais "la nature même de la mission suppose la mobilité", a observé Jean-François Bureau. "Il y a en permanence des mouvements de personnels le long de la ligne de cessez-le-feu pour en assurer la sécurisation. Nous ne sommes pas en train de tenir un front."

"Il s'agit d'adopter une posture militaire qui décourage tout recours à la force d'où qu'il vienne", "sans être ni dans une situation de passivité ni dans une situation d'interposition", a-t-il ajouté, en précisant que les trois critères définissant l'usage du feu des forces françaises étaient "l'autoprotection des personnels", la sécurité des personnes sous leur protection, et des "exactions" dont elles seraient les témoins directs.

Interrogé sur la situation actuelle, il a jugé qu'elle "serait infiniment plus dramatique" si la France n'avait pas de dispositif militaire sur le terrain. Pour autant, "nous ne sommes pas dans situation où il y a eu une rupture unilatérale, délibérée, volontaire, massive du cessez-le-feu. Il y a eu des incidents", a-t-il dit, notant que la "solution politique définira la durée de (la) mission".

Sur le plan politique justement, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères François Rivasseau a expliqué que Paris attendait les résultats du mini-sommet africain organisé mercredi à Dakar, deux jours après une première réunion à Kara, dans le nord du Togo. "Particulièrement, deux points nous paraissent importants: les progrès de la réconciliation nationale et l'état d'avancement du projet de déploiement d'une force de la CEDEAO (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest)", a-t-il dit.

Quant à la proposition française faite aux chefs d'Etat africains concernés par la crise et aux forces politiques ivoiriennes de tenir des réunions à Paris, il a précisé qu'elle "progressait". Elle a même rencontré des "échos favorables", mais "le calendrier n'est encore pas définitivement fixé".
Source : var matin
13 / 09 / 2002
Sujet : Raffarin et Alliot-Marie Ă  Toulon
Le chef du gouvernement et son ministre de la Défense, accompagnés d'Hubert Falco, seront reçus à bord du Charles-de-Gaulle

Jacques Chirac en avait esquissé la perspective à bord du Charles-de-Gaulle le 1er juillet, Jean-Pierre Raffarin et Michèle Alliot-Marie enfonceront le clou sur le pont du bâtiment : la France se dotera, à terme, d'un second porte-avions.

En rade de Toulon, le Premier ministre et son ministre de la Défense viendront donc répéter aux autorités militaires ce qu'elles se plaisent à entendre depuis mercredi : les crédits d'équipements augmenteront de 11,2 % pour la période 2003-2008. Le Premier ministre, qui doit s'adresser à l'équipage du Charles-de-Gaulle à l'heure du déjeuner, détaillera plus précisément le volet de la loi de programmation militaire concernant la Marine : construction d'un second porte-avions donc, mais aussi d'un 4e sous-marin nucléaire lanceur d'engins ou d'une 3e frégate antiaérienne de type Horizon.

Le Premier ministre devrait, en principe, passer un moment en mer sur le TCD Foudre, avant d'apponter sur le Charles-de-Gaulle à 11 h 15. Il sera accompagné de sa ministre de la Défense, Michèle Alliot-Marie, d'Hubert Falco, maire de Toulon et secrétaire d'État aux personnes âgées et du député marseillais Guy Teissier, président de la commission de la Défense de l'Assemblée nationale.
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